Entre Katie Price et son mari Kieran Hayler, il y a de l'eau dans le gaz. Si le journal The Sun annonce que la vedette anglaise s'apprêterait à demander le divorce, depuis qu'elle a découvert qu'il la trompe depuis un an avec leur nounou Nikki Brown, les récentes photos sur les réseaux sociaux de monsieur racontent une autre histoire...
Dans les colonnes de The Sun, Katie Price fait des révélations sur son mariage et affirme qu'elle va divorcer. "J'ai pris un coup à l'estomac. Pendant un an, j'ai payé ma nounou pour qu'elle couche avec mon mari. Kieran m'a dit qu'ils ont b**sé dans toute ma maison pendant un an. Ils ont eu des relations sexuelles partout sauf dans notre chambre, ils ont même fait cela dans la salle de bain des enfants. Quand je l'ai confronté, il a commencé par nier, même quand je lui ai dit qu'elle l'avait admis (...) Ma mère et la sienne étaient là toutes les deux, me disant de me calmer. Mais quand je l'ai supplié de me dire la véfrité, il a fini par dire : 'Oui, nous l'avons fait'", a-t-elle raconté.
Katie Price (39 ans) affirme que son mari Kieran Hayler (30 ans) aurait couché sans protection avec leur nounou. De son côté, Nikki Brown aurait déclaré que l'époux de la starlette lui aurait "lavé le cerveau" et l'aurait "forcée" à avoir des relations sexuelles... Ce n'est toutefois pas la première fois que monsieur se montre infidèle puisqu'en 2014, après seulement un an de mariage, il avait révélé avoir fauté. Pourtant, en juin dernier, le couple renouvelait ses voeux aux Maldives. Ensemble, ils ont deux enfants : Bunny (3 ans) et Jett (4 ans).
Sur Twitter, Katie Price a posté des émojis de coeur brisé, mais, sur la story Instagram de Kieran, on peut la voir allongée sur lui, profitant d'une soirée en amoureux devant le match de boxe opposant Floyd Mayweather à Conor McGregor. Le divorce est-il toujours d'actualité ? C'est ce qu'affirme le Mail Online, qui cite la starlette, laquelle confirme que son mari vit toujours sous le même toit qu'elle et qu'elle souhaite qu'il s'en aille progressivement "pour le bien des enfants".
Thomas Montet