Stéphane Bern : Grande décision concernant sa sublime propriété pour laquelle il s’est endetté, il a obtenu les autorisations !

Stéphane Bern est un homme épanoui qui prend toujours autant de plaisir à animer les émissions du groupe France Télévisions. Si certains trouvent qu'il est très présent sur nos écrans, le présentateur a fait un constat différent pour 2024 comme il l'a expliqué à nos confrères de Télé-Loisirs. "Il y a eu quelques Secrets d'Histoire, il y a eu Le Village préféré des Français et Le Monument préféré des Français, Le Grand concert du 14 juillet, deux Laissez-vous guider, Bellefond évidemment, et le week-end consacré à la réouverture de Notre-Dame de Paris, et certains événements comme La Libération de Paris. Ça ne fait pas tant d'émissions que ça", a-t-il précisé. Puis le passionné d'Histoire de reprendre : "Certes, ce sont des formats différents, mais je n'ai pas une émission tous les jours. Je n'ai pas le sentiment de squatter le petit écran et d'être très présent. Mais j'ai des émissions dont je suis fier, qui sont de qualité, qui valorisent le patrimoine et l'Histoire et ça, je pense qu'aujourd'hui, les Français y sont attachés".  Si "ça ne fait pas tant d'émissions que ça", Stéphane Bern s'était précédemment confié à Buzz TV et avait indiqué devoir travailler encore longtemps tant il s'est endetté pour pouvoir s'offrir le Collège royal et militaire de Thiron-Gardais, situé dans le perche en Eure-et-Loir. 

Heureux propriétaire, certes, mais à quel prix ? Il avait dévoilé à nos confrères n'avoir dépensé "que" 300 000 euros mais que ce sont les travaux qui lui ont coûté le plus cher puisque le compagnon de Yori Bailleres a estimé leur prix total à 4 millions d'euros… "Ça va me prendre un peu de temps, j'ai tout vendu ! Ma banquière me dit 'Pourvu qu'il vive longtemps'", avait-il complété. Endetté mais pas "ruiné", il a avoué : "Je dois quand même faire attention. Je suis obligé de travailler, et sans doute encore longtemps, pour rembourser mes dettes. Je m'en suis mis beaucoup sur le dos". Dans une nouvelle interview accordée à nos confrères de Ouest-France le 29 décembre dernier, il revenait sur l'achat de sa belle demeure et le bon temps qu'il y passe à tel point qu'il souhaite y être enterré ! "J'ai une tombe dans le jardin. J'ai eu l'autorisation par la préfecture car ce lieu appartient à une fondation et donc ne sera plus jamais un domaine privé", a-t-il annoncé. Et de prendre avec franchise : "De temps en temps, je vais sur ma tombe, où il n'y a ni nom ni dates, et je me dis : 'N'oublie pas que tu redeviendras poussière'. Parler de la mort n'a rien de morbide. Le tout, c'est de mettre ses affaires en ordre".

Depuis qu'il a quitté Paris, Stéphane Bern se sent plus libre même s'il y passe "une ou deux nuits par semaine". "C'est sympa d'y arriver, c'est très bon d'en repartir. On aspire avec l'âge à une sorte de respiration. Je ne suis pas sans rien faire à Thiron-Gardais, au contraire, mais il y a une forme de quiétude et moins de stress", a-t-il confié à Ouest-France. Et de reprendre : "Finalement, les mondanités, ça n'a jamais été trop mon truc. On y perd son temps et on y prend du poids. Je préfère la vie saine ici avec mes chiens et mes poules". Stéphane Bern a également expliqué pourquoi il s'était acheté un collège royal et militaire et non un château : "Parce que le château, c'est la puissance et la gloire. Ça fait nouveau riche. J'aurais été ridicule vu d'où je viens, j'ai le sang rouge du bon roturier". 

Puis de se justifier ainsi : "Un collège, c'est le savoir, la transmission et, au fond, ça a toujours été ma vocation. Je ne suis pas dans le luxe et je me suis même endetté pour encore vingt-cinq ans, il va falloir assumer. Je n'ai pas demandé les subventions possibles. Étant payé par les Français sur le service public audiovisuel, c'est ma déontologie personnelle de ne rien demander à l'État". Même s'il est endetté pour pas mal d'années, l'animateur n'a aucun regret. "Comment regretter ? C'est ce que je laisserais ! (...) Les gens me disent : 'Merci de sauver notre patrimoine'. C'est un acte patriotique, tout d'un coup, [ça représente] l'amour que vous avez pour votre pays, vous voulez laisser aux générations qui viennent un patrimoine dans un meilleur état que celui dans lequel vous l'avez trouvé", avait-il assuré fièrement à Buzz TV.