Après avoir fait la connaissance de Julie, Julien, Bruno, Eric, Sébastien et des deux Bernard, le Picard et le Pyrénéen la semaine dernière, lundi 18 janvier, M6 a dévoilé les portraits des sept autres agriculteurs qui composent le casting de L'amour est dans le pré 2016. Entre rires et larmes, l'émission a proposé de grands moments d'émotion !
Monique (54 ans) est la première hélicicultrice de l'émission, comprenez une éleveuse d'escargots ! Cette pétillante quinquagénaire s'occupe d'ailleurs de 50 000 gastéropodes en région Provence-Alpes-Côte-d'Azur.
C'est il y a sept ans, après son divorce, que Monique a quitté son emploi de commerçante afin de revenir à ses racines. Philosophe et joyeuse, malgré deux mariages qui se sont soldés par des échecs, Monique croit toujours en l'amour et recherche un homme attentif, qui n'aura pas peur de dire ce qu'il ressent. L'homme idéal devra également être âgé entre 48 et 60 ans, ne pas être trop petit et avoir du charisme. Aussi, ce dernier ne doit ni boire, ni fumeur. "Je souhaite trouver une personne joyeuse mais posée. Surtout pas trop nerveuse car ça me fatigue", confesse-t-elle. Le message est passé !
Céréalier de la région Centre-Val de Loire, Benoît (30 ans) est le plus jeune des candidats mais aussi LE beau gosse de la saison. Ce séduisant brun n'a pourtant pas toujours eu un physique d'Apollon. Ancien obèse, il a pris sa revanche sur la vie, et les moqueries, en perdant 35 kilos il y a trois ans. Et afin de ne pas reprendre du poids, Benoît continue de prendre soin de lui en courant pas moins de 10 kilomètres par semaine et en pratiquant les arts martiaux. Malgré cet incroyable changement physique, le céréalier manque encore de confiance en lui. "Je ne me trouve pas beau, je me vois toujours comme avant", confesse-t-il à la présentatrice.
Marqué par deux anciennes histoires d'amour - il est resté notamment six ans avec une ex-compagne -, Benoît ne souhaite pas refaire les mêmes erreurs. Son ex n'ayant pas supporté de vivre à la campagne, il désire que ses prétendantes ne soient pas repoussées par son mode de vie. Désireux de fonder une famille, ce candidat aimerait une femme âgée entre 27 et 32 ans, sans enfant, qui prend soin d'elle et qui ne cherche pas à travailler à ses côtés.
Eleveur breton de chevaux d'attelage, Paulo (60 ans) est un homme exceptionnel, marqué par un terrible drame. Le 11 octobre 1995, un camion a fauché la voiture dans laquelle se trouvaient sa fille de 12 ans et sa femme. C'est donc seul qu'il a éduqué son fils, aujourd'hui âgé de 34 ans. "J'avais des copains qui venaient me voir tous les soirs pour m'aider", déclare-t-il ému. C'est certainement pour cela que Paulo donne beaucoup aux autres aujourd'hui. Car l'éleveur, lequel tient également une pension pour chevaux et promène les jeunes mariés en calèche, est un vrai gentil. Lorsqu'il le peut, il sauve des animaux de l'abattoir et paye régulièrement le café à ceux qui croisent son chemin. "J'ai vécu pas mal de choses. A présent je veux juste rendre les gens heureux", continue-t-il.
Egalement papa d'un autre garçon âgé de 13 ans, né de sa relation avec une ex-compagne, Paulo aspire à un bonheur simple et recherche une femme âgée entre 45 et 55 ans. Attentionné et câlin, il souhaite que ses prétendantes soient honnêtes avec lui "et ne viennent pas pour l'argent". Ces dames sont prévenues !
Eleveur de vaches salers dans la région Midi-Pyrénées, Guillaume (42 ans) est le premier croque-mort de L'amour est dans le pré, métier qu'il pratique à mi-temps. Père de trois enfants - une fille de 6 ans et deux fils de 12 et 13 ans -, ce candidat a beau pratiquer, en partie, un métier morbide, il a un tempérament joyeux et s'avère très drôle. Epicurien dans l'âme, ce candidat vit "au jour le jour"... et surtout avec sa mère et sa grand-mère ! "J'étais seul et gérer le travail et les enfants ça faisait beaucoup", confesse-t-il. Mais Guillaume prévient, le jour où il se remettra en couple, il ne restera pas chez sa maman. Ouf !
Ce candidat recherche une femme calme, qui a la tête sur les épaules. Bref, il ne veut pas d'une enquiquineuse... et préférerait une compagne câline, presque collante. Quant au physique ? Il aime les brunes et surtout les rousses ! Et si elle a des lunettes, c'est carton plein ! En revanche, elle ne doit pas être trop grande - Guillaume mesurant 1,67 mètre.
Didier, céréalier du Nord-Pas-de-Calais-Picardie est âgé de 52 ans. Papa de deux jeunes adultes, ce candidat a de nombreux loisirs. S'il aime nager - parfois jusqu'à huit fois par semaine -, Didier est surtout passionné de danse rock'n'roll ! "Quand je me sens bien je peux danser les yeux fermés et plus rien ne peux m'arriver", confie-t-il. Un vrai passionné, également fou de chiens. Un animal qui l'a aidé à surmonter sa douloureuse séparation d'avec la mère de ses enfants. "Si j'arrive à avoir une complicité avec une femme comme avec mon chien, c'est merveilleux", lâche-t-il ensuite presque premier degré !
Divorcé depuis presque 15 ans, Didier tire des leçons du passé. Il le sait, si ça n'a pas fonctionné avec son ex-épouse c'est parce qu'il travaillait trop. En "état de survie" pendant longtemps, Didier se sent prêt à aimer de nouveau.
"Homme du terroir, carré et sincère", comme le décrit son ami, le céréalier souhaite trouver une femme qui n'aura pas plus de dix ans d'écart avec lui, qui ne soit pas trop ronde - afin qu'il danse bien avec elle - et qui mesure pas plus d'1,72 mètre, sa taille.
Jean-Paul (37 ans) est éleveur de vaches laitières en Bourgogne-France-Comté. Divorcé depuis 6 ans, les larmes lui montent vite aux yeux lorsqu'il évoque sa séparation et surtout son fils, grâce à qui il a réussi a tenir le coup après son divorce. "Je n'ai pas été assez présent, je travaillais beaucoup et j'avais des problèmes financiers. Elle m'a dit qu'elle allait partir mais je ne le prenais pas au sérieux. Elle est partie pour quelqu'un", confie-t-il à Karine Le Marchand.
Manquant terriblement de confiance en lui et pouvant tomber très vite amoureux, le très sensible Jean-Paul a peur de vivre un nouvel échec. Cependant, il ne baisse pas les bras et espère un jour offrir un petit frère, ou une petite soeur, à son fils. Sa femme idéale est plutôt mince, brune aux yeux bleus et âgée d'une trentaine d'années.
À 45 ans, Marianne élève des vaches allaitantes dans le Centre-Val de Loire. Bricoleuse et proche de ses parents, qui l'aident au quotidien à la ferme, cette candidate manque de temps pour rechercher un compagnon et se consacrer à ses loisirs, comme la danse. C'est pourquoi cette maman d'un petit garçon souhaite trouver un homme qui saura l'épauler dans la sphère privée comme dans les champs !
Estimant ne jamais avoir connu le grand amour, Marianne a du mal à envisager de façon positive une romance. Méfiante et complexée, elle confie être indécise et remettre toujours ses choix en question. "Il te faut quelqu'un de très positif, qui te secoue tout ça !", rétorque Karine Le Marchand bien décidée à remotiver la participante. Espérons que Marianne trouvera un homme qui lui prouve qu'elle peut croire de nouveau en l'amour ! En tout cas, celui-ci devra être gentil, honnête et bosseur. Concernant les critères physiques, elle aime les hommes grands et si possible blonds aux yeux bleus.
Si vous pensez que, derrière l'un de ces portraits, se cache peut-être l'homme ou la femme de votre vie, écrivez à l'agriculteur/trice qui vous a fait craquer à l'adresse suivante :
L'amour est dans le pré
(Nom de l'agriculteur)
TSA 21 234
75 070 Paris Cedex 02
Les portraits des sept derniers agriculteurs de la saison 11 de L'amour est dans le pré ont attiré 3,8 millions de téléspectateurs, soit 15,1% de part de marché. Un score en très nette hausse par rapport à la semaine dernière, avec 671 000 téléspectateurs et 2,6 points de PDA supplémentaires.