La Belle et ses princes 2 : Nelly 'pas du tout cliente des relations d'un soir'

Dès 20h50, les téléspectateurs pourront retrouver sur W9 la deuxième saison inédite de La belle et ses princes presque charmants. Après la belle Marine, c'est au tour de Nelly, une jolie maquilleuse de 28 ans, de mettre à l'épreuve dix-sept prétendants (des apollons et de sympathiques garçons au physique difficile). A quelques heures du premier épisode, Nelly se confie au site de TV Mag.

Nelly est bien différente de Marine. Dans la saison, elle a d'ailleurs décidé de piéger ses prétendants en s'enlaidissant. Si les réactions des éphèbes sont peu surprenantes (ils sont terriblement déçus en la voyant), les sympathiques candidats, eux, vont la trouver particulièrement jolie. Si Nelly a voulu se déguiser, c'est avant tout parce qu'elle n'a pas toujours eu ce superbe corps. Elle se souvient : "Je suis montée jusqu'à 65 kilos et je portais du 44. Pour 1m65, vous imaginez ce que ça donnait..."

C'est seulement à l'âge de 18 ans que Nelly, qui a passé onze ans dans un pensionnat catholique privé, a commencé à s'intéresser aux garçons. Si elle avoue tomber amoureuse facilement, Nelly dit ne pas avoir eu beaucoup de chance. Quant aux coups d'un soir, très peu pour elle : "Je ne suis pas du tout cliente des relations d'un soir, c'est impossible pour moi." Les garçons sont prévenus !

Grande fan de la saison une, Nelly a été autant courtisée que Marine. A tel point que cela devenait lassant : "17 personnes qui veulent tous faire leur petit geste, c'était parfois étouffant. Il y a des moments où j'avais besoin de souffler." Il faut dire que le tournage ne durant que deux semaines, les prétendants devaient tout donner, et tout le temps.

Si on ne saura qu'à la fin de l'émission si Nelly a bel et bien trouvé l'amour, on sait déjà que la jeune femme ne serait pas contre rester à la télévision. Elle a conscience que La belle et ses princes peut être un tremplin. Une place dans les prochains Anges ? "J'y vais. Je ne connais pas beaucoup de gens qui refuseraient d'aller passer dix semaines aux États-Unis", répond-elle.

Pas faux...