Léa Seydoux, beauté lumineuse à Paris pour Spectre face à Monica Bellucci

Pour une des soirées de gala comme le Grand Rex en compte sur les doigts de la main, le célèbre cinéma parisien s'était paré de noir ce jeudi 29 octobre pour l'avant-première de Spectre. Sombre, comme ce 24e opus, spectaculaire à n'en pas douter, mais aussi intriguant et passionnant, emmené par un Daniel Craig qui interprète un James Bond seul face à ses fantômes et un vilain campé par Christoph Waltz.

Les deux comédiens étaient d'ailleurs les premiers arrivés sur le tapis – noir – du Grand Rex, accueillis par des fans nombreux, massés depuis plusieurs heures aux barrières qui longent ce red carpet. Il faut dire que Spectre a un goût particulier. Arrivant juste après Skyfall (plus gros succès de l'histoire de la franchise) et donc forcément très attendu, il s'agit aussi et en théorie, du dernier opus mettant en scène Daniel Craig dans la peau de l'agent 007. À ses côtés, Christoph Waltz incarne la quintessence du méchant bond-ien, avec toute le charisme de l'acteur qu'on avait tant acclamé en terrible nazi dans Inglourious Basterds.

Mais les Français, et cela se matérialise bien vite, n'ont d'yeux que pour Léa Seydoux. Non seulement, c'est une frenchie au casting, mais elle épouse un rôle de femme indépendante, froide et mystérieuse, envoûtante mais qui ne se laisse pas marcher sur les pieds. Une James Bond girl unique et dans l'air du temps. Alors Paris n'attendait que cela, pouvoir fêter son héroïne. Dans une robe rose griffée Miu Miu, parée de bijoux Chopard, Léa Seydoux était en tout point resplendissante et lumineuse, glamour au possible. À ses côtés, difficile pour Monica Bellucci de lui voler la vedette. L'actrice italienne, angélique à souhait, a elle aussi été comblée par les fans de Bond admirateurs, charmant son petit monde dans une élégante et longue robe noire brillante dénichée chez Alexandre Vauthier, en adéquation parfaite avec le thème de ce 24e James Bond.

Spectre sortira dans nos salles à partir du 11 novembre.