Du 22 octobre 2016 au 20 février 2017, la Fondation Louis Vuitton présentera Icônes de l'art moderne, une exposition qui rendra hommage à l'homme d'affaires russe et collectionneur d'art Sergueï Chtchoukine. Celle-ci mettra en lumière un ensemble exceptionnel d'une centaine de chefs-d'oeuvre de la collection Chtchoukine représentatifs de l'art moderne, avec entre autres des tableaux de Monet, Cézanne, Gauguin, Matisse et Picasso.
Jeudi 20 octobre, le dîner d'inauguration de cette incroyable exposition était ainsi organisé en présence de plusieurs personnalités. Égéries et muses fidèles de la maison Louis Vuitton, les actrices Léa Seydoux et Catherine Deneuve ont notamment fait tourner les têtes lors de leur arrivée à la Fondation.
Enceinte de son premier enfant, celle qui est actuellement à l'affiche de Juste la fin du monde s'est affichée radieuse dans une longue robe bi-matière incrustée de perles rouges. La comédienne de 31 ans, qui affichait un baby bump discret, a brièvement posé devant les caméras avant de rejoindre son amie, l'actrice Adèle Exarchopoulos. De son côté, Catherine Deneuve avait également opté pour une tenue ultrachic de la griffe française. Tout sourire, la star de 72 ans a chaleureusement salué les photographes.
Le mannequin Eva Herzigová, l'architecte américain Peter Marino, Jack Lang et son épouse Monique, mais également l'ancien président de la République Valéry Giscard d'Estaing et son épouse Anne-Aymone, Sidney Toledano et sa femme Katia, le journaliste et animateur Guillaume Durand et son époux Diane de Mac Mahon et Patrick de Carolis étaient tous conviés. Claire Chazal, Marie Drucker, Nicolas Escoulan, Marc Ladreit de Lacharrière et l'architecte Frank Ghery ont tout autant attiré l'oeil.
Venu au bras de sa femme Hélène, le président de LVMH Bernard Arnault s'est félicité de cette exposition, qui constitue selon lui "une grande première". "Vladimir Poutine a dû approuver le déplacement de cette collection. Cela illustre bien la proximité culturelle et éternelle entre la France et la Russie. Je pense qu'il est très sensible à cette proximité. Je remercie le président russe et le président français qui a dû aussi donner son accord. Cette collection a fait pendant un moment l'objet de contestations juridiques donc il fallait s'assurer qu'aucune toile ne pouvait être saisie", a-t-il déclaré à Europe 1.