En 2021, Léna Guillou faisait ses débuts dans le milieu de la télé-réalité. La jolie brune originaire de Nice débarquait au casting des Marseillais à Dubaï sur W9. Après quoi, elle a participé aux émissions Les Princes de l'amour ou encore La Villa des coeurs brisés. Mais aujourd'hui, c'est davantage sur les réseaux sociaux que ses fans peuvent la suivre. La compagne du footballeur Adil Rami y est en effet très active, notamment sur Instagram, où elle se confie quotidiennement à ses abonnés. Jeudi 28 avril 2022, Léna a justement décidé de s'ouvrir sur un sujet tout particulier : le harcèlement. Un fléau qu'elle ne connaît que trop bien étant donné qu'elle en a été victime à l'adolescence.
"Comme beaucoup de jeunes, j'ai été harcelée quand j'étais pré-ado et adolescente. Je suscitais les jalousies parce que j'attirais les garçons alors que moi je me trouvais éclatée. Et forcément, quand tu plais à un garçon qu'une autre voulait, elle va être jalouse et inventer des histoires sur toi, elle va dire que tu as couché alors que tu n'as que 13 ans et que bien évidemment tu n'as absolument pas fait ta première fois", a-t-elle déclaré en story. Ainsi, à cette époque, Léna avait bien conscience d'avoir "une réputation de pu**, de nana qui couche" alors qu'elle était "complètement vierge". Une période qu'elle a naturellement mal vécue. "C'est difficile à supporter, parce que c'est une période de la vie où on se construit et on essaye d'avoir confiance en soi".
Et là, tu ne sais pas quoi faire...
Mais le plus difficile fut de constater que les garçons de son âge croyaient dur comme fer à ces rumeurs. Ce qui lui a valu d'être confrontée à une horrible expérience. "Une fois, alors que je rentrais chez moi, un groupe de garçons de mon collège est venu vers moi. Ils ont commencé à me toucher sur l'épaule, puis les fesses, puis les seins... Et là tu ne sais pas quoi faire, s'est-elle souvenue. On se dit que si on crie à l'attouchement ou à l'agression, ils vont se moquer de moi, dire que je l'ai cherché". Elle dénonce alors un réel "problème de société" et pointe du doigt ces personnes "qui n'évoluent pas et dénuées de cerveau".
Heureusement, Léna a pu se sortir de cette situation en courant jusqu'à chez elle. Mais elle regrette de ne pas avoir raconté son histoire. "Je suis retournée au collège l'air de rien et j'ai gardé ça pour moi et je me suis sentie assez seule", a-t-elle reconnu. Avec ce témoignage, elle espère sensibiliser et surtout contribuer à faire changer les choses contre le harcèlement.