Léon Marchand, Teddy Riner... les médaillés se lâchent en boîte de nuit : certains recalés, la raison dévoilée

Alors que les Jeux Olympiques de Paris s'achèvent avec la traditionnelle cérémonie de clôture dimanche 11 août 2024 au Stade de France, les différents médaillés de cette olympiade ont bien profité des boîtes de nuit parisiennes pour fêter leurs victoires. En effet, beaucoup d'athlètes, dont un grand nombre de Français, ont régulièrement fréquenté ces établissements depuis maintenant 15 jours. Si les membres de la délégation française ont pris l'habitude d'aller d'abord célébrer leurs médailles au sein du Club France, ils ne vont pas tous se coucher lorsque celui-ci ferme ses portes à deux heures du matin. Parmi les clubs fréquentés par les sportifs, on peut notamment citer le Deflower, situé à proximité de l'avenue des Champs-Élysées.

Cette boîte de nuit intimiste, qui peut accueillir jusqu'à 300 personnes au maximum dans la rue de Ponthieu, a notamment reçu la visite des nageurs de l'équipe de France, dont Léon Marchand . Située pour sa part vers la place de l'Étoile, l'Arc a aussi accueilli certains sportifs durant cette olympiade. Les membres de l'équipe de rugby à 7, dont Antoine Dupont, ont notamment été aperçus sur place. Léon Marchand est lui aussi allé dans cet établissement. Le quadruple champion olympique de natation a également fréquenté Le Medellín, un autre club parisien, tout comme le judoka Teddy Riner.

Cependant, certains athlètes ont été recalés à l'entrée de ces boîtes de nuit parisiennes. "On a été obligé de refuser certains sportifs qui venaient en maillot de bain, en jogging. On leur a dit, qu'on adorait les avoir mais qu'il fallait qu'ils fassent un effort vestimentaire", a indiqué le patron du Medellín au Parisien.

Outre les médaillés français, de nombreux sportifs issues des délégations internationales engagées dans les Jeux Olympiques de Paris ont aussi arpenté les boîtes de nuit parisiennes au cours de ces 15 derniers jours. Cependant, les athlètes n'ont pas fait d'énormes folies lors de leurs passages dans ces établissements depuis le début de l'olympiade. En effet, personne n'a encore commandé la bouteille de champagne de 30 litres proposée pour la somme de 100.000 euros du côté de l'Arc. "Ils sont plus raisonnables, ils passent une heure ou deux seulement", a souligné le directeur d'une boîte de nuit parisienne.