Jonathan Rhys-Meyers aurait tenté de se suicider le 30 juin 2011, selon The Sun. Une information qui reste à prouver. Il n'empêche que l'acteur britannique, qui a de grave probèmes avec l'alcool et qui reste sur cinq échecs en cure de désintoxication, a ingéré une forte dose de médicaments. Afin de nous remémorer les bons moments que cet acteur inouï et star de la série Les Tudors nous a offert et avant qu'il nous en offre d'autres, nous vous proposons un petit retour sur ses premiers pas (parfois hilarant) en tant que comédien.
Outre les fans de Jonathan Rhys-Meyer, qui est au courant que cet acteur génial a débuté sa carrière très tôt, à l'age de 17 ans ? Dans le film A Man of no Importance (1994), le jeune JRM apparait lors d'une scène dans laquelle, imberbe, blouson en cuir, costard et cravate comme un jeune premier anglais, il nous gratifie d'un petit coup de billard : raté ! Ce sera tout pour cet ado qui goûte pour la première fois au plaisir des caméras après avoir été débouté d'un casting pour La Guerre des Boutons, deux ans plus tôt.
Mais c'est l'année 1996 qui est à marquer d'une pierre blanche pour le jeune débutant du cinéma. En effet, cette année-là, il enchaîne trois films et un téléfilm. Commençons par ce dernier, tant il est drôle et atypique.
Dans un remake anglais de Samson et Dalila, Jonathan Rhys-Meyer nous donne des frissons et des fous rire en Samson à couettes. Il ressemble à une squaw ! Et voir Samson manier avec grâce la langue de Shakespeare habillé en peau de bête vaut son pesant d'or.
La même année, l'acteur continue son apprentissage dans The Killer Tongue, un navet assumé. L'histoire ? Après qu'une météorite ait percuté la Terre, le monde est chamboulé, les caniches sont des drag-queens et une cambrioleuse hérite d'une longue langue tueuse. Notre plaisir va plutôt vers le fait que ce long-métrage nous permet d'observer Jonathan Rhys-Meyer torse nu... et déjà terriblement sexy !
S'il nous gratifie d'une minuscule apparition dans le film Michael Collins - mais ô combien importante puisqu'il tue le personnage principal et éponyme - il commence à véritablement percer dans ce petit monde grâce à The Disappearance of Finbar. Cette fois, c'est lui le héros éponyme de ce film sérieux, même si son jogging et sa longue écharpe de mamie nous donne invariablement le sourire !
Ensuite, ce sera la consécration pour le comédien, qui gagnera définitivement ses galons de grand grâce au film Joue-la comme Beckham, en 2002. Avec ce petit clin d'oeil, souhaitons un prompt rétablissement à JRM !