Pour la première fois, Maeva Ghennam raconte la terrible agression dont elle a été victime il y a quelques jours à Marseille. Alors qu'elle rentrait chez elle, la candidate de l'émission Les marseillais VS Le reste du monde a été frappée par trois hommes qui l'attendaient devant sa maison. Sur Snapchat, elle explique : "Au moment de rentrer chez moi, trois mecs étaient cachés en bas. Ils m'ont agressée, ils m'ont frappée, ils ont pris tout ce que j'avais sur moi. Ils m'ont mis un couteau sous la gorge, ils m'ont pris par les cheveux, ils m'ont balayée par terre et m'ont tabassée. J'ai cru que j'allais mourir, je croyais qu'ils allaient me tuer. Ils m'ont pris ma Rolex, mes bijoux, mon sac."
Vous imaginez à quel point c''est très très grave ?
Complètement bouleversée, l'ex de Greg Yega confie avoir également eu extrêmement peur pour son chien Hermès. Juste après l'agression, Maeva raconte être allée se réfugier chez ses voisins. "On a trouvé mon chien, je m'inquiétais trop pour lui. On l'a retrouvé un quart d'heure plus tard il était au milieu de la route."
Autre traumatisme pour la jeune femme, les policiers qui ont enregistré sa plainte ont apparemment eu un comportement très agressif. "À aucun moment ils m'ont demandé si j'allais bien. Ils étaient archi mais archi méchants ! Ils m'ont très mal parlé ! Un policier m'a même dit "C'est un peu normal ce qu'il vous arrive. Vous n'avez pas à montrer tout ce que vous gagnez sur les réseaux sociaux" révèle-t-elle. Pire l'un des policiers aurait révélé ce "scoop" au blogueur Aqababe et aurait proposé de dévoiler l'adresse et le numéro de téléphone de sa mère contre rémunération. "Ils donnent les informations, le scoop au blogueur ! La police ! Ceux qui sont censés me protéger veulent divulguer mon adresse et le numéro de téléphone de ma mère ! (...) Vous imaginez à quel point j'ai été traumatisée ? À quel point c''est très très grave ?"
Psychologiquement je vais pas bien
Désemparée et sous le choc, elle indique ne pas réussir à se remettre de son agression et de la réaction de la police après l'incident. "On m'a donné des cachets et même avec ça je n'ai pas sommeil (...) Je suis pas bien mentalement, j'ai peur. Ce que j'ai vécu est traumatisant. (...) Psychologiquement je vais pas bien, je dors pas, j'arrête pas d'y penser."