Topless dans les pages intérieures et laissant échapper l'un de ses seins en couverture du magazine Lui, Marie de Villepin fait grimper la température dans l'édition estivale de la célèbre revue. En titre de son interview "Marie de Villepin parle".
J'ai un père homme politique, connu des médias et c'est pas toujours cool
La fille de Dominique de Villepin n'a pas fini d'affoler la toile avec cette couverturre sexy, rock'n'roll et réussie. Sous l'objectif de Cédric Buchet, sur les bords de l'Hudson River, à New-York, où elle vit, la jeune femme de 29 ans est tout simplement divine. Cash, elle risque même de faire autant parler par ses punchlines, prêtes à s'inscrire dans annales de Lui. "Je b**** en français, mais je b**** américain", lâche ainsi le mannequin, alors qu'on lui demande en quelle langue elle fait l'amour. Le ton est donné, pas question pour la fille du diplomate de tourner sa langue sept fois dans sa bouche.
A-t-elle souffert de la position politique de son père ? Celle qui a aujourd'hui son propre groupe de rock, PinkMist, répond : "J'ai eu beaucoup de chance d'être née là je suis née. Après, heureusement ou malheureusement, chance ou fardeau, oui j'ai un père homme politique, connu des médias et c'est pas toujours cool." Avant d'ajouter : "Demandez à n'importe quel enfant de politique, il y a un revers de la médaille. À l'école, on venait me voir pour me dire : 'Ton père est responsable de la dissolution', certainement parce que leurs parents disaient ça à la maison. En tant qu'enfant de politique, je pense plutôt qu'on peut s'entraider, même si nos parents ne font pas partie du même bord politique. Ma lâcheté finalement, c'est que je n'ai pas voulu me complaire dans cette situation. Et je suis partie. Au moment du CPE, j'étais pas là, je vivais ma vie." Désormais heureuse dans la Grosse Pomme, elle ne semble pas envisager un quelconque retour.
J'avais un caractère impossible, on m'appelait Attila
Elle revient pour le magazine de Frédéric Beigbeder sur ses débuts de mannequin évoquant un univers "très violent", mais une expérience qu'elle ne regrette pas. Enfin, celle qui a fait ses débuts d'actrice dans Yves Saint-Laurent, évoque son fort caractère lorsqu'elle était petite, qui lui a vallu un surnom des plus cocasses. "J'avais un caractère impossible, on m'appelait Attila."
Aujourd'hui, Marie de Villepin, qui se destinait à la finance avant de quitter l'Hexagone, est une superbe jeune femme sulfureuse et rock'n'roll qui dit ce qu'elle pense. Que cela plaise ou non.