Chacun des participants de Mariés au premier regard espère trouver le grand amour et s'en remet à la science pour y arriver. Les couples sont choisis par des experts après les avoir soumis à de nombreux tests permettant d'établir, au final, un taux de compatibilité. Mais en quoi consiste exactement ces fameux tests sur lesquels toute l'aventure de Mariés au premier regard est basée.
Dans son édition du 1er avril 2024, en amont de la diffusion du troisième épisode de la saison 8 de Mariés au premier regard, le Parisien se penche sur le calcul du fameux taux de compatibilité. Le quotidien rappelle en premier lieu que ce sont plus de 20 000 candidatures qui sont reçues par la production et seules une centaine d'entre d'elles sont gardées après une première sélection. Un premier atelier durant toute une journée est organisé avec bien évidemment pour principe que les candidates et les candidats ne se croisent jamais. Les premiers tests interviennent lors de cette première journée : "traits de caractère, valeurs, mode et projets de vie" sont questionnés rapporte le Parisien. Les candidats doivent également se soumettre à une questionnaire sur leur sexualité ! "On leur demande quelle est la fréquence des rapports qu'ils souhaitent, s'il y a eu des attirances ou des expériences homosexuelles, des plans à trois', explique Karen Aboab, productrice de Mariés au premier regard au Parisien. Les questions posées relèvent du domaine du très intime... Une fois récoltées, les réponses sont consultées par les experts de l'émission et seulement eux. Pour cette saison 8, ce sont Gilbert Bou Jaoudé et Estelle Dossin qui ont été chargés de guider les candidats.
Tous les candidats de Mariés au premier regard rencontrent à plusieurs reprises des experts psy et il est une question primordiale à laquelle ils n'échappent pas : celle de leurs critères physiques. Ils passent alors un test "d'attractivité" dont le but est de cerner leurs critères rédhibitoires.
Quant à savoir comment le taux de compatibilité est concrètement calculé, impossible de le savoir ! "C'est confidentiel" répond Estelle Dossin au Parisien qui rappelle au passage que le 100% n'existe pas et que le taux maximum atteint dans MAPR est de 82%.