Marilyn Monroe dans Certains l'aiment chaud
La suite après la publicité
Réactualisation : Le court métrage pornographique de Marilyn Monroe mis aux enchères relance la polémique quant à l'identité réelle de l'actrice. Dans le Huffington Post, repris par RTL.be, un expert, Scott Fortner, fervent collectionneur de reliques de la star, estime qu'il s'agit d'un faux : "Il ne s'agit pas de Marilyn. Son menton n'est pas le même, ses lèvres ne sont pas les mêmes, ses dents ne sont pas les mêmes. [...] La jeune femme est considérablement plus empâtée et moins féminine que Marilyn." Le certificat de l'Institut américain du film, que brandit le responsable de la vente, Mikel Barsa, sera-t-il suffisant pour affirmer qu'il s'agit d'un vrai ?
Le 21 juillet nous écrivions : Marilyn Monroe va-t-elle faire exploser la vente aux enchères dans le cadre de la Foire internationale des collectionneurs cinéphiles de Buenos Aires le 7 août ? Il est fort probable que la mise en vente d'un court métrage pornographique de la légende du cinéma datant de 1946 et durant six minutes va affoler l'assemblée... La mise à prix est de 350 000 euros, beaucoup s'attendent à un résultat doublement plus élevé.
L'icône, qui s'appelait encore à l'époque du tournage du court métrage Norma Jean Baker, avait 21 ans et le film, en noir et blanc, la met en scène avec un inconnu, selon le responsable de la vente, Mikel Barsa. Le film était en possession d'un collectionneur espagnol dont les héritiers ont confié la vente de l'oeuvre à Mikel Barsa. Ce dernier a déjà vendu la seule autre copie connue au monde du court métrage.
C'est en 1997 qu'est révélée l'existence de ce court métrage et cette annonce avait été suivie d'une polémique sur l'identité réelle de l'actrice. Contre les détracteurs, Mikel Barsa montre sa lettre de l'Institut américain du film certifiant qu'il s'agit de Marilyn. En 2008, un autre film, muet et de 15 minutes, montrant Marilyn pratiquant une fellation, avait été vendu 1,5 million de dollars à un chef d'entreprise.
Déjà, la vente aux enchères à Beverly Hills de sa robe mythique dans Sept ans de réflexion a été adjugée au mois de juin à 4,6 millions de dollars. Pour son film porno, on peut imaginer une somme astronomique également ! Le fantasme de Marilyn est éternel et n'a pas de prix... ou presque.
Le 21 juillet nous écrivions : Marilyn Monroe va-t-elle faire exploser la vente aux enchères dans le cadre de la Foire internationale des collectionneurs cinéphiles de Buenos Aires le 7 août ? Il est fort probable que la mise en vente d'un court métrage pornographique de la légende du cinéma datant de 1946 et durant six minutes va affoler l'assemblée... La mise à prix est de 350 000 euros, beaucoup s'attendent à un résultat doublement plus élevé.
L'icône, qui s'appelait encore à l'époque du tournage du court métrage Norma Jean Baker, avait 21 ans et le film, en noir et blanc, la met en scène avec un inconnu, selon le responsable de la vente, Mikel Barsa. Le film était en possession d'un collectionneur espagnol dont les héritiers ont confié la vente de l'oeuvre à Mikel Barsa. Ce dernier a déjà vendu la seule autre copie connue au monde du court métrage.
C'est en 1997 qu'est révélée l'existence de ce court métrage et cette annonce avait été suivie d'une polémique sur l'identité réelle de l'actrice. Contre les détracteurs, Mikel Barsa montre sa lettre de l'Institut américain du film certifiant qu'il s'agit de Marilyn. En 2008, un autre film, muet et de 15 minutes, montrant Marilyn pratiquant une fellation, avait été vendu 1,5 million de dollars à un chef d'entreprise.
Déjà, la vente aux enchères à Beverly Hills de sa robe mythique dans Sept ans de réflexion a été adjugée au mois de juin à 4,6 millions de dollars. Pour son film porno, on peut imaginer une somme astronomique également ! Le fantasme de Marilyn est éternel et n'a pas de prix... ou presque.