Mel B aimerait que son divorce se règle au plus vite, mais c'est sans compter sur les nouvelles révélations de celui qu'elle a épousé il y a dix ans. Bien décidé à obtenir le droit de voir Angel, la fille de Mel B et Eddie Murphy (10 ans) dont il est très proche, Stephen Belafonte n'a pas hésité à déballer un dossier compromettant pour amadouer le juge.
Dans les documents transmis et obtenus par RadarOnline, le producteur de films accuse sa future ex-femme d'être accro à la cocaïne et à l'alcool, des addictions qui dureraient depuis des années et auraient mis leur mariage en péril. "La raison la plus importante de mon inquiétude pour la sécurité de l'enfant est que la partie adversaire [Mel B, ndlr] a une addiction invétérée et constante à la cocaïne et l'alcool", rapporte Stephen Belafonte. Ses craintes se seraient amplifiées le jour où Mel B a renvoyé la nounou, Lorraine Gilles, alors qu'elle travaillait pour eux depuis 2010. La jeune femme représentait, selon lui, une protection pour les enfants de la famille qui se retrouvent dorénavant seules avec leur maman, laquelle ne serait donc pas en mesure de s'occuper d'eux sans risque.
Pour appuyer ses révélations, Stephen Belafonte cite le docteur Charles Sophy, le thérapeute de Mel B avec qui il a échangé par messages depuis leur séparation réalisée en décembre 2016, et rendue publique plusieurs mois plus tard. Ainsi, le 19 mars dernier, le docteur Sophy annonçait à Stephen Belafonte que l'ex-Spice Girl acceptait de se soumettre à un traitement. "Aujourd'hui, elle va recevoir sa dose de vitriol et la recevra tous les trente jours", précisait-il. Mel B aurait également accepté de réaliser des tests de dépistage réguliers, à intervalle maximal de 60 jours, réalisés à partir de cheveux.
Mel B, qui n'aurait pas tardé à se recaser en se mettant en couple avec un certain Karen Gary Madatyan, coiffeur résidant à Beverly Hills, n'a pas encore réagi à ces nouvelles accusations.