Michèle Laroque le 22 novembre 2012 lors d'une vente aux enchères pour le Téléthon© BestImage
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En 2009, Michèle Laroque se met elle-même en scène dans Mon brillantissime divorce, adaptation de la pièce anglaise My brilliant divorce, de Geraldine Aaron, jouée à Londres par Jennifer Saunders (de la série Absolutely Fabulous). Un succès qu'elle aimerait transposer à l'écran depuis plus de deux ans, pourtant, c'est dans un autre projet au cinéma qu'elle vient de s'impliquer. La comédienne s'est lancée dans un défi particulier et ambitieux : le crowdfunding pour financer son long-métrage, provisoirement intitulé Jeux dangereux.
Le magazine Paris Match est parti à la rencontre de Michèle Laroque, pour en savoir plus sur sa démarche inédite. Pour financer son film, l'artiste fait appelle au public et aux internautes. En échange d'un don du montant de son choix, on peut – selon la somme investie – accéder au blog de tournage animé par l'équipe, recevoir l'affiche du film dédicacée ou le scénario original, avoir son nom au générique ou même monter les marches du Festival de Cannes ! Le but n'est pas de se remplir les poches mais de partager un rêve de cinéma. L'idée est née quand Michèle Laroque a discuté avec sa styliste qui travaille également pour Touscoprod, une plateforme de financement participatif. La célèbre comédienne imagine donc transformer son public nombreux en producteurs potentiels.
"J'ai cinq mois pour convaincre le public, persuader les internautes de devenir coproducteurs de mon film et trouver 400 000 euros," explique Michèle Laroque. Pour ce faire, elle part à la rencontre des gens pour expliquer sa démarche, profite d'événements comme Les Enfoirés avec qui elle collabore depuis 1997 ou l'Open GDF Suez en faisant passer le message à Amélie Mauresmo. La somme acquise financera 10% du film, dont le budget oscillera entre 4 et 6 millions. Un défi économique pour lequel elle bénéficie certainement les conseils avisés de son compagnon François Baroin, ancien ministre des Finances.
Mais de quoi parlera donc ce film ? Si l'on peut imaginer aisément que Michèle Laroque sera devant la caméra, on n'en sait pour l'heure pas davantage sur l'histoire. La raison est simple : les internautes-producteurs peuvent influer sur le casting, l'affiche et le scénario. Une aventure peu commune, qui rappelle le système de MyMajorCompany en musique. On lui souhaite le même succès.
Retrouvez l'intégralité de l'article dans le magazine Paris Match du 14 février
Le magazine Paris Match est parti à la rencontre de Michèle Laroque, pour en savoir plus sur sa démarche inédite. Pour financer son film, l'artiste fait appelle au public et aux internautes. En échange d'un don du montant de son choix, on peut – selon la somme investie – accéder au blog de tournage animé par l'équipe, recevoir l'affiche du film dédicacée ou le scénario original, avoir son nom au générique ou même monter les marches du Festival de Cannes ! Le but n'est pas de se remplir les poches mais de partager un rêve de cinéma. L'idée est née quand Michèle Laroque a discuté avec sa styliste qui travaille également pour Touscoprod, une plateforme de financement participatif. La célèbre comédienne imagine donc transformer son public nombreux en producteurs potentiels.
"J'ai cinq mois pour convaincre le public, persuader les internautes de devenir coproducteurs de mon film et trouver 400 000 euros," explique Michèle Laroque. Pour ce faire, elle part à la rencontre des gens pour expliquer sa démarche, profite d'événements comme Les Enfoirés avec qui elle collabore depuis 1997 ou l'Open GDF Suez en faisant passer le message à Amélie Mauresmo. La somme acquise financera 10% du film, dont le budget oscillera entre 4 et 6 millions. Un défi économique pour lequel elle bénéficie certainement les conseils avisés de son compagnon François Baroin, ancien ministre des Finances.
Mais de quoi parlera donc ce film ? Si l'on peut imaginer aisément que Michèle Laroque sera devant la caméra, on n'en sait pour l'heure pas davantage sur l'histoire. La raison est simple : les internautes-producteurs peuvent influer sur le casting, l'affiche et le scénario. Une aventure peu commune, qui rappelle le système de MyMajorCompany en musique. On lui souhaite le même succès.
Retrouvez l'intégralité de l'article dans le magazine Paris Match du 14 février