Pour Nabilla et son père, l'amour ne l'a pas toujours emporté. Il y a bien des années, alors que la jeune femme au physique de bimbo faisait le buzz dans Les Anges de la télé-réalité (NRJ12), son père Khoutir Benattia avait eu des mots durs envers elle. Aujourd'hui, leur relation s'est améliorée. La maman du petit Milann (1 an) est d'ailleurs très fière de son papa, comme elle le raconte ce lundi 19 octobre 2020 sur Snapchat.
"Mon papa travaille aux Nations Unies. Je suis très fière de mon père. A l'ONU, c'est le Haut Commissariat des Réfugiés, c'est ceux qui s'occupent de plein de choses mais notamment des pays les plus démunis. Il y a plein de choses qui se passent là-bas. Pour moi, c'est un métier de fou ce qu'il fait, je trouve ça juste incroyable. En plus il a travaillé dans plein de services", lance Nabilla. Et de préciser que Khoutir Benattia a "commencé stagiaire" : "Il distribuait le courrier dans les étages. Ca fait 25 ans, peut-être 30 ans. Il a toujours travaillé là-bas, depuis que je suis née du moins." Aujourd'hui, son père "organise des conférences" et est "responsable des conflits".
Un métier qui impressionne l'ancienne starlette de télé-réalité devenue une véritable business woman. Il faut dire que son père revient de loin... "Il n'a pas trop eu la chance de faire des études. Parce qu'il est né en Algérie, il y avait la guerre. Ils ne les laissaient pas aller à l'école, c'était très compliqué. Ils ont dû partir d'Algérie pour venir en France quand il était petit, il avait 3 ou 4 ans. Il s'en est quand même très bien sorti, même plus que bien", assure la jeune mère de famille avant d'évoquer le salaire de Khoutir Benattia. "Mon père gagne très très bien sa vie, il a un salaire incroyable, ajoute-t-elle. Je suis fière. Comme quoi on peut partir de rien, même de moins, et arriver à faire de grandes choses. Ca a toujours été mon modèle de réussite."
A chacune de leur rencontre, Khoutir Benattia raconte son quotidien à l'ONU à sa fille. "C'est trop bien, confie-t-elle. Bon, là, ça fait longtemps que je ne l'ai pas vu..." L'heureux grand-père devait assister à l'anniversaire du petit Milann à Dubaï en octobre, mais cela n'a finalement pas pu se faire. "Ce n'est pas grave, il faut être patient. (...) On a prévu d'aller en France à Noël", conclut-elle, envisageant des retrouvailles familiales chaleureuses.