
C'est une bien triste nouvelle que l'on vient d'apprendre et elle concerne l'une des femmes politiques les plus connues de France. Ce mardi 23 juillet, son fils de 33 ans a été découvert sans vie chez lui par son père. Un véritable drame pour la famille de celle qui appartient au groupe politique des Républicains (LR), comme l'a révélé Public en premier. Une information confirmée par actu.fr, qui indique que c'est donc le père de Grégoire Morano qui a retrouvé son corps, sans vie, sur un lit de son appartement situé à Nancy (Meurthe-et-Moselle). Inquiet de ne pas avoir de nouvelles, Angelo Morano, l'ancien mari de la politicienne de 60 ans, se serait rendu à son domicile, avant d'appeler les secours et de pratiquer un massage cardiaque.
Il était malheureusement trop tard et Grégoire Morano s'en est allé à seulement 33 ans. Pour l'heure, Nadine Morano, mère de deux autres enfants, Raphaël et Éléonore, ne s'est pas encore exprimée publiquement sur le décès de son fils, mais ce n'est pas la première fois que le fils de l'ancienne secrétaire d'État chargée de la Famille sous la présidence de Nicolas Sarkozy fait parler de lui. En mai 2023, son fils Grégoire a été placé en garde à vue après un accident de la route. "Il avait percuté le pare-chocs d'un poids lourd au moment où il s'insérait sur l'autoroute, vers la commune de Toul, sans faire de blessés", expliquait alors BFMTV. Sauf que le jeune homme commettait un délit de fuite, avant que son véhicule ne soit intercepté. De plus, comme le précisait nos confrères, le fils de la femme politique conduisait sous l'emprise de la cocaïne.
Arrêté et mis en garde à vue, Grégoire Morano était un récidiviste. Cela ne serait "pas la première fois qu'il se fait arrêter pour conduite sous stupéfiants, ce qui représente une circonstance aggravante et lui fait encourir une plus lourde peine", comme l'indiquait BFMTV à l'époque des faits. Après une longue procédure dans cette affaire de conduite sous l'emprise de cocaïne, la justice a tranché et Grégoire Morano a été condamné à une peine de huit mois de prison avec sursis par le tribunal de Nancy, en février dernier. Une peine assortie d'une obligation de suivre des soins dans un service d'addictologie et de travailler ou de suivre une formation.