Natacha Polony (C l'hebdo) se trouve "potiche et gratinée" : complexée, elle n'est pas tendre avec elle-même

Elle est désormais une des chroniqueuses de l'émission C l'hebdo chaque samedi dès 18h55 sur France 5 : Natacha Polony, découverte par le grand public aux côtés de Laurent Ruquier dans On n'est pas couché sur France 2, où elle officiait en tant que "snipeuse" et polémiste entre 2011 et 2014. C'est d'ailleurs à cette époque que la femme du journaliste gastronomique Périco Légasse s'était ouverte sur son image publique et ses insécurités au niveau de son physique.

Des confidences qu'elle avait faites dans les pages de Télé Star : "Je ne me trouve pas belle. J'ai toujours l'image de la jeune femme de 20 ans que j'étais : godiche et gratinée. Je dégage peut-être plus d'assurance aujourd'hui." En 2012, à l'époque de cette interview, la nouvelle recrue d'Aurélie Casse, après de nombreux speed dating cet été, était maman de deux enfants. Leurs prénoms, très originaux : Eneko (2007) et Cosima (2011).

J'ai un mari très compréhensif

Et Natacha Polony de chanter alors les louanges de son compagnon, papa très investi alors qu'elle officiait aussi à la radio, en matinale, avec Bruce Toussaint : "Heureusement que j'ai un mari très compréhensif qui s'occupe de nos enfants le matin." Un an plus tard, en 2013, le couple avait aussi accueilli un fils du prénom de Bartholomé.

Je suis une femme soumise et j'aime ça

En 2017, cette grande rousse de 48 ans s'était livrée dans les pages de Teknikart sur sa rencontre pour le moins houleuse avec celui qui est devenu son mari : "Les premiers contacts étaient plutôt à fleurets mouchetés." Et de continuer : "J'ai reçu une éducation un peu coincée, alors je ne réclame jamais. Du coup, je restais stricte et droite, et lui n'arrêtait pas de monter les enchères. Ça s'est fini chez Ledoyen", avait-elle raconté, finalement ravie de se rendre au restaurant (étoilé !) avec ce roi de la provocation. En 2015, elle révélait également avoir épousé un vrai "macho", à la différence près qu'il ne la laissait pas mettre un pied en cuisine. "Je suis une femme soumise et j'aime ça", assurait-elle.