En 2012, la vie de Nikos Aliagas a été chamboulée par l'arrivée de son premier bébé, une petite fille prénommée Agathe, née des amours de l'animateur avec sa belle Tina Grigoriou. Quatre ans plus tard, en octobre 2016, la petite famille s'agrandit avec le petit Andréas. Papa de deux enfants, la star des plateaux de TF1 est devenue un autre homme. Face à Julien Doré dans Télé Loisirs, il raconte.
"Ça a changé ma vie. Le bain, la crainte vis-à-vis d'un prof à l'école... C'est un planning !", lance l'animateur du célèbre télé-crochet The Voice. Et de faire une confidence surprenante : durant des années, Agathe et Andréas ont raté les émissions de leur père. Un choix des parents, comme l'explique lui-même l'animateur. "Pendant longtemps, on a fait en sorte qu'ils ne me voient pas à la télé, lâche-t-il. Ça s'est fait naturellement. Quand je passais à l'écran, ma femme leur disait : 'C'est rien, papa travaille' et éteignait la télé, comme on ferme la porte du bureau."
La famille, c'est sacré pour Nikos Aliagas. En juin 2019, il prenait même la lourde décision de quitter la matinale d'Europe 1 dans le but de consacrer plus de temps à ses enfants. "Lorsque ma fille de 6 ans et demi m'a récemment demandé pourquoi je ne l'accompagnais jamais à l'école le matin, cela m'a fait bizarre", confiait-il au Figaro.
Toujours auprès de nos confrères, mais en décembre 2019, l'animateur de 51 ans expliquait son choix : "C'était important pour moi de passer du temps avec mes enfants. J'en avais besoin. C'est essentiel de les emmener à l'école, de partir en week-end avec eux, d'aller faire des balades et des photos. C'est ainsi que l'on construit des souvenirs avec sa famille. J'ai toujours été là, mais à quel prix ? Un grand écart permanent ! Et ça, ce n'est pas possible."
Aujourd'hui, il a trouvé le bon équilibre. Agathe, qui fêtera très prochainement son 8e anniversaire, est même allée le voir dans la loge des NRJ Music Awards. "Seule la chanteuse Tones and I l'intéressait ! Et beaucoup moins ce que je faisais... Il faut savoir faire la part des choses", se souvient Nikos Aliagas.