Les spéculations vont bon train autour de la photo de Kate Middleton et de ses enfants, prise à l'occasion de la fête des mères et rendue publique dimanche par le palais de Kensington. Les internautes ont en effet remarqué que la princesse de Galles a été rajoutée au montage, sur ce cliché. Ce qu'elle a reconnue, avant de s'excuser via X (anciennement Twitter). Un message qui n'a pas suffi à faire disparaître la polémique.
Cette affaire fait beaucoup réagir, alors que Kate Middleton était déjà au coeur de l'actualité royale depuis sa mystérieuse opération à l'abdomen en janvier (elle n'a plus fait d'apparition publique depuis la messe de Noël, même si elle a été prise en photo lundi dernier en compagnie du prince William. Un cliché qui serait d'ailleurs lui aussi truqué d'après les internautes).
Récemment, une source a expliqué à Page Six que le couple royal n'était pas traité de la même manière que celui formé par Meghan Markle et le prince Harry. D'après celle-ci, la duchesse de Sussex n'aurait jamais fait une telle erreur : "Elle a un oeil et une attention particulière au détail." Une information démentie ce mercredi 13 mars par le porte-parole de la fondation Archewell, créée et gérée par le couple.
Comme le rapporte The Sun, mais aussi le Daily Mail, il a insisté auprès de Newsweek sur le fait que les informations partagées avec Page Six "ne venaient pas de nous". C'est la première fois que Harry et son épouse abordent officiellement cette controverse. Et s'ils ont tenu à faire démentir ces révélations faites à Page Six, c'est peut-être parce qu'ils se sont eux aussi déjà retrouvés dans la situation de Kate Middleton. En effet, en 2019, ils avaient partagé une photo de famille sur laquelle le visage du prince Harry était complètement flou, alors que celui de Meghan Markle semblait bien plus net et donc potentiellement retouché.
"C'est probablement la pire photo photoshoppée que j'ai jamais vue. Et encore une fois avec le noir et blanc", pouvait notamment lire à l'époque dans les commentaires sur les réseaux sociaux.