

Ce dimanche 2 mars avait lieu ce que certains se plaisent à appeler le Classico, le match entre le Paris Saint-Germain et l'Olympique de Marseille. Un match qui autrefois sentait bon la poudre entre deux équipes qui se détestaient cordialement et qui ressemble aujourd'hui à un match comme les autres. Mais les mythes qui entourent cette rencontre sont toujours aussi vivaces, et les célébrités se pressent pour assister à l'affrontement.
Et au premier rang, on retrouvait un habitué de la tribune présidentielle parisienne, Nicolas Sarkozy. L'ancien président, supporter déclaré du club de la capitale, pouvait avoir le sourire devant la domination de Zlatan Ibrahimovic et les siens. Accompagné de deux de ses enfants, l'aîné Pierre (né en 1985) et le petit dernier Louis (qui lui a vu le jour en 1997), Nicolas Sarkozy a une fois de plus salué avec enthousiasme les supporters présents, s'arrêtant volontiers pour prendre se faire prendre en photo ou serrer des mains.
Il n'aura pas manqué de prendre la pose avec Teddy Riner et de présenter le champion olympique de judo à son fils Louis. Dans les travées du Parc des Princes, ils étaient nombreux à être venus voir le PSG faire un pas décisif vers le titre de champion de France. Vainqueur 2-0 grâce à Maxwell et Edinson Cavani, le PSG compte désormais huit points d'avance sur Monaco.
De quoi faire plaisir à Anne Hidalgo et Nathalie Kosciusko-Morizet, les deux principales candidates à la mairie de Paris, toutes les deux présentes au Parc des Princes, tout comme Manuel Valls, le ministre de l'Intérieur que l'on a vu partir dans de grands éclats de rire avec Nicolas Sarkozy. Un ancien président au four et au moulin, puisqu'il a également beaucoup échangé avec Margarita Louis-Dreyfus, la propriétaire de l'OM, et avec le président du club Vincent Labrune.
Dans les tribunes, on pouvait croiser le chanteur Julien Doré, l'animateur Cyril Hanouna, ainsi que Thomas Ngijol et sa compagne enceinte, la comédienne Karole Rocher. Tous auront pu apprécier une soirée tranquille pour les troupes de Laurent Blanc, rarement inquiétés par des Marseillais volontaires mais trop limités pour faire trembler la machine parisienne...