Robin Thicke et son ex-femme Paula Patton se livrent une sacrée bataille pour la garde de leur fils Julian, âgé de 6 ans. Le chanteur risque de ne pas obtenir gain de cause puisque le garçonnet aurait révélé avoir été frappé par son papa...
C'est le site TMZ.com qui dévoile que Julian a révélé début janvier aux membres du personnel de son école que son père Robin Thicke l'aurait fessé plus d'une fois. L'école a alors rapporté l'incident le 3 janvier au service de la protection des enfants et des familles de Los Angeles, qui a ouvert une enquête contre l'artiste. Alertée, Paula Patton a refusé que son ex-mari puisse s'occuper de Julian et a rempli en urgence une demande d'éloignement auprès du juge des familles, souhaitant uniquement que Robin Thicke puisse voir son fils en pleine journée. Dans sa plainte, Paula Patton écrit : "Julian a peur de toi." Elle explique aussi qu'elle ait été prévenue par l'école, son fils lui aurait dit que son ex-mari l'avait frappé "très fort". Un membre de l'école a également joint une déclaration au juge dans ce sens...
Robin Thicke s'est défendu auprès de la justice : "Dans de rares occasions et uniquement en dernier recours, j'utilise de légères fessées mais dans le cadre de la légalité : la main ouverte sur la fesse. C'est le genre de discipline que Paula et moi avions choisi pendant notre mariage." Le chanteur a aussi dû répondre à des allégations d'une nounou et de sa femme, selon lesquelles il aurait consommé de la marijuana devant son fils et il serait présenté, alcoolisé, à l'école en juin dernier au moment de la remise de diplôme pour le passage dans la classe supérieure. Robin Thicke pense que tout est manigancé par sa femme, qui serait vexée d'avoir été recalée des obsèques d'Alan, le père de Robin.
Le juge aurait depuis refusé la demande de Paula Patton de faire annuler la garde partagée et de soumettre son ex-mari à un test de drogues. Elle a aussi été entendue par des assistants sociaux, tout comme Julian, à deux reprises. Robin Thicke devait être entendu jeudi 12 janvier.
Thomas Montet