Actuellement en train d'assurer la promotion de son film Ghost in the Shell, Scarlett Johansson s'attend naturellement à devoir répondre à des questions sur son divorce avec Romain Dauriac. Mais comme aborder le sujet est interdit, certains ont trouvé le moyen de contourner cette censure compréhensible dans la mesure où elle ne concerne aucunement le film.
Interviewée à Paris dans le cadre de l'émission Lorraine, Scarlett Johansson a été interrogée sur sa relation avec sa fille Rose Dorothy (bientôt 3 ans). Elle a évoqué son désir de voir sa fille l'accompagner sur les plateaux de tournage. "J'en suis fière et j'adore le faire [emmener sa fille sur les plateaux, NDLR]. J'adore être capable de montrer cela à ma fille, l'emmener sur mon lieu de travail et lui montrer que je suis une femme indépendante. C'est très important pour moi", a déclaré la jeune femme.
De quoi faire écho aux rumeurs selon lesquelles son mari Romain Dauriac voulait s'installer en France avec sa fille. Un profond désaccord qui aurait peut-être poussé le couple à se séparer. "C'est bien malheureux, particulièrement pour notre fille, que Scarlett ait déposé sa demande de divorce et rendu nos différends publics, avait déclaré l'intéressé dans un communiqué. Je l'implore de retirer son action au plus vite et de retourner, aussi difficile que cela soit, à la table des négociations. Nous sommes les parents d'une adorable petite fille que nous continuerons d'élever ensemble de nombreuses années, partageant avec elle ses joies et ses peines comme seuls des parents peuvent le faire."
En effet, quelques jours plus tôt, Scarlett Johansson avait officialisé sa demande de divorce : "En tant que mère dévouée et en tant qu'individu totalement conscient que ma fille sera un jour assez grande pour lire les articles sur sa vie, je veux seulement dire que je ne commenterai jamais la fin de mon mariage. Au nom du respect de mon souhait en tant que parent et pour toutes les mères, c'est avec politesse et bienveillance que je demande aux autres parties et aux médias de faire la même chose. Merci."