Robert Downey Jr. faisant la promotion de Sherlock Holmes à Los Angeles début décembre 2009© Angeli
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La réussite du Sherlock Holmes de Guy Ritchie avec Robert Downey Jr., Jude Law et Rachel McAdams a rapidement mis sur la table la question d'une suite. Les chiffres au box office confirment qu'un Sherlock 2 aurait toutes ses chances, surtout si Brad Pitt endosse le rôle du méchant Moriarty comme le dit la rumeur. Toutefois, ce beau tableau pourrait être remis en cause...
Selon Total Film, une suite serait compromise si l'équipe du film choisissait d'approfondir la personnalité du détective sur la voie de l'homosexualité. En effet, dans une interview avec le célèbre David Letterman, Robert Downey Jr., aussi charismatique, passionné, - par le cinéma ou sa femme - et bavard, avait mis le doigt sur l'homosexualité latente entre son personnage et celui de Jude Law, le docteur Watson. Il a dit qu'il faudrait demander l'avis du public sur une direction ou pas du scénario du prochain épisode vers une relation homosexuelle.
Ces commentaires n'ont pas vraiment amusé Andrea Plunket qui possède les droits américains de la saga littéraire de Sherlock Holmes : "J'espère qu'il ne s'agit que d'un exemple du sens de l'humour noir de M. Downey. Cela peut paraître sévère mais je retirerais l'autorisation de réaliser d'autres films si ce thème est utilisé dans le futur." Elle ajoute tout de même : "Je ne suis pas hostile à l'homosexualité, mais je veux que l'on respecte le véritable esprit du livre." Entre plaisanteries et vraie question, pour Andrea Plunket, il n'y a pas de débat possible.
Dans tous les cas, le séduisant Robert tournera bien une suite, mais celle d'Iron Man.
Selon Total Film, une suite serait compromise si l'équipe du film choisissait d'approfondir la personnalité du détective sur la voie de l'homosexualité. En effet, dans une interview avec le célèbre David Letterman, Robert Downey Jr., aussi charismatique, passionné, - par le cinéma ou sa femme - et bavard, avait mis le doigt sur l'homosexualité latente entre son personnage et celui de Jude Law, le docteur Watson. Il a dit qu'il faudrait demander l'avis du public sur une direction ou pas du scénario du prochain épisode vers une relation homosexuelle.
Ces commentaires n'ont pas vraiment amusé Andrea Plunket qui possède les droits américains de la saga littéraire de Sherlock Holmes : "J'espère qu'il ne s'agit que d'un exemple du sens de l'humour noir de M. Downey. Cela peut paraître sévère mais je retirerais l'autorisation de réaliser d'autres films si ce thème est utilisé dans le futur." Elle ajoute tout de même : "Je ne suis pas hostile à l'homosexualité, mais je veux que l'on respecte le véritable esprit du livre." Entre plaisanteries et vraie question, pour Andrea Plunket, il n'y a pas de débat possible.
Dans tous les cas, le séduisant Robert tournera bien une suite, mais celle d'Iron Man.