Exclusif - Shy'm participe à l'émission Alors on chante, au Palais des Sports à Paris, diffusée le 28 novembre 2014 sur TF1.© BestImage
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Après le succès mitigé du lead-single La Malice, Shy'm, dont l'album Solitaire est dans les bacs depuis lundi, s'apprête à sortir dans les jours à venir le clip de son nouveau tube, L'Effet de serre. Porté par une promo colossale en télé, ce nouvel extrait - qu'elle a interprété sur le plateau de Danse avec les stars, suscitant de vives réactions - trouve déjà son public grâce au refrain catchy et up-tempo.
Les premières images du clip de L'Effet de serre, tourné à Tel Aviv la semaine dernière, sont en totale cohérence avec le virage sexy que prend Shy'm, ces deux dernières années. Dans un court extrait proposé par la chanteuse martiniquaise sur Instagram, on la découvre en sous-vêtements, tantôt noirs, tantôt blancs, entourée d'une foule de danseurs, tout aussi dévêtus, dans ce qui ressemble à un dortoir médicalisé.
Dans un portrait que lui consacre cette semaine le magazine Gala (édition en kiosques ce mercredi 26 novembre), la star confie que ce n'est pas vraiment par vocation qu'elle exerce la profession de chanteuse. Et pour cause, elle doit faire face aux avantages comme aux inconvénients, parfois ravageurs, qu'il comporte. "Je ne sais pas pourquoi je fais ce métier. Il me construit autant qu'il me détruit. C'est une relation maso, on attend les coups de fouet, on aime les applaudissements. Mais quand je monte sur scène, je souffre", assure-t-elle. Des mots crus et très forts choisis avec minutie par Shy'm qui poursuit : "Cette profession est extrême. Mes tenues sont assez conventionnelles finalement. D'autres artistes avant moi dansaient à moitié nus, avec des cheveux colorés ou des tatouages. Et pourtant, ça choque encore !", s'étonne-t-elle ensuite. Des performances scéniques qu'elle qualifie d'"artistiques et sensuelles".
Nul doute que sa tournée à venir sera du même acabit : Shy'm sera en concert dans toute la France à partir du 27 mars 2015 avec son Paradoxale Tour. Elle sera à Dijon le 28 mars, à Lyon le 30, à Saint-Étienne le 31, à Montpellier le 3 avril, à Nice le 4, à Marseille le 5, ou encore à Bordeaux le 10 avril. Le public parisien pourra l'acclamer à l'occasion de deux concerts à la Bercy Arena les 17 et 18 novembre 2015.
Joachim Ohnona
Les premières images du clip de L'Effet de serre, tourné à Tel Aviv la semaine dernière, sont en totale cohérence avec le virage sexy que prend Shy'm, ces deux dernières années. Dans un court extrait proposé par la chanteuse martiniquaise sur Instagram, on la découvre en sous-vêtements, tantôt noirs, tantôt blancs, entourée d'une foule de danseurs, tout aussi dévêtus, dans ce qui ressemble à un dortoir médicalisé.
Dans un portrait que lui consacre cette semaine le magazine Gala (édition en kiosques ce mercredi 26 novembre), la star confie que ce n'est pas vraiment par vocation qu'elle exerce la profession de chanteuse. Et pour cause, elle doit faire face aux avantages comme aux inconvénients, parfois ravageurs, qu'il comporte. "Je ne sais pas pourquoi je fais ce métier. Il me construit autant qu'il me détruit. C'est une relation maso, on attend les coups de fouet, on aime les applaudissements. Mais quand je monte sur scène, je souffre", assure-t-elle. Des mots crus et très forts choisis avec minutie par Shy'm qui poursuit : "Cette profession est extrême. Mes tenues sont assez conventionnelles finalement. D'autres artistes avant moi dansaient à moitié nus, avec des cheveux colorés ou des tatouages. Et pourtant, ça choque encore !", s'étonne-t-elle ensuite. Des performances scéniques qu'elle qualifie d'"artistiques et sensuelles".
Nul doute que sa tournée à venir sera du même acabit : Shy'm sera en concert dans toute la France à partir du 27 mars 2015 avec son Paradoxale Tour. Elle sera à Dijon le 28 mars, à Lyon le 30, à Saint-Étienne le 31, à Montpellier le 3 avril, à Nice le 4, à Marseille le 5, ou encore à Bordeaux le 10 avril. Le public parisien pourra l'acclamer à l'occasion de deux concerts à la Bercy Arena les 17 et 18 novembre 2015.
Joachim Ohnona