Tous les jours, les téléspectateurs ont l'opportunité de se réveiller avec Télématin sur France 2. Julia Vignali et Thomas Sotto y font le point sur l'actualité, entourés d'une ribambelle de chroniqueurs, du lundi au jeudi. Puis, pour le week-end du vendredi au dimanche, ce sont Maya Lauqué et Damien Thévenot qui prennent le relais. Toutefois, ce sont encore d'autres personnalités qui sont parfois appelées à récupérer les commandes du programme de temps à autres. Il n'est notamment pas rare de voir Maud Descamps laisser tomber sa chronique habituelle pour prendre la place de Julia Vignali ou de Maya Lauqué. Toujours très à l'aise à l'antenne, Maud Descamps a fini de prouver qu'elle était un membre fiable de l'équipe matinale. Et pour lui donner toute la confiance dont elle a besoin, elle peut compter sur le soutien de sa famille, elle qui est maman de jumeaux, un garçon et une fille.
Malgré leur jeune âge (approximativement entre deux et trois ans), les adorables bambins sont en effet ses premiers fans. Sur une photo partagée au mois d'octobre 2022 sur Instagram, Maud Descamps les dévoilait de dos en train de la regarder attentivement à la télé. "Le fan club", légendait-elle sa publication. C'est la première fois que la journaliste postait un cliché de ses petites merveilles dont on ne connaît pas les prénoms. Et, bien que leurs visages soient détournés, il était possible de constater qu'ils ont hérité des gênes de leur maman et plus particulièrement de sa blondeur. L'image avait alors beaucoup attendri les internautes. "Trop mignon", "Maman à la télé, trop chou", "J'adore", "Très chouette à regarder, je confirme", pouvait-on lire entre autres.
Avant de rejoindre la rédaction de Télématin, Maud Descamps a pendant quelques années travaillé à Europe 1, au sein de la rubrique "étranger" avant de raconter ses aventures chaque week-end dans les "Carnets du Monde". Elle a plus tard été chargée de développer de nouveaux formats éditoriaux pour le site web d'Europe1 et a présenté pendant un temps chaque samedi les Héros et les zéros du web dans les "Carnets du monde".