Convoqué au tribunal, Thierry Olive de L'amour est dans le pré saison 7 s'estime victime de jalousies. Dans cette affaire mise en avant par La Manche Libre, Thierry Olive compte bien ne pas se laisser faire et se confie au journal Le Parisien.
Convoqué demain, mercredi 28 août, pour répondre de faits de "tromperie sur la nature, la qualité substantielle, l'origine ou la quantité d'une marchandise", le candidat culte de la saison dernière de L'amour est dans le pré sur M6 est en réalité accusé par Yann Quesnel, éleveur bovin de Montaigu-les-Bois, dans ce même canton de Gavray, qui affirme qu'il lui aurait "vendu un veau présenté comme un veau valorisé en viande, alors qu'il s'agissait d'un animal laitier".
Il se dit prêt à entamer une grève de la faim et même à s'enchainer à la tour Eiffel, si la justice le sanctionne. Il a en effet déclaré avoir acheté six chaînes de 4 mètres de long : "Si je suis condamné, je viendrai à Paris pour m'enchaîner à la Dame de fer, je ferai une grève de la faim, et les gens qui m'apprécient m'apporteront de l'eau." Ça a le mérite d'être clair...
Selon lui, la source du problème est simple : "Cette histoire est due à la jalousie de mon succès, indique Thierry Olive, qui file le parfait amour avec son épouse Annie. Si erreur il y a, elle ne vient pas de moi. Je n'y peux rien si des milliers de personnes viennent à mon mariage et aux séances de dédicaces. Beaucoup de candidats à L'amour est dans le pré m'avaient dit que je serais contrôlé... je l'ai été."
En revanche, du côté de la production de L'amour est dans le pré, on assure que le passage de Thierry dans l'émission n'a rien à voir avec cette affaire. Virginie Matéo, directrice artistique du speed-dating rural de M6, a ainsi expliqué : "Certes des jalousies peuvent exister, mais, à ma connaissance, je n'ai jamais appris, depuis la création du magazine, qu'un candidat ait été contrôlé à cause de son passage dans l'émission."
Très agacé par cette histoire, Thierry Olive, qui s'est récemment lancé dans la chanson, a même été jusqu'à contacter, hier, le secrétariat du ministre de l'Agriculture. "Je veux que Stéphane Le Foll sache que, si je suis condamné, je n'en resterai pas là", assure Thierry Olive. Un proche du ministre a confié au journal Le Parisien qu'il n'avait pas à commenter ni à intervenir dans une affaire qui relève de la justice. Affaire à suivre...