Tour de France : Vidéo choc de la chute de plusieurs cyclistes, la course interrompue et terrible abandon

Des images vraiment très impressionnantes ! Alors que la 14e étape du Tour de France a débuté ce samedi 15 juillet, un accident hallucinant a provoqué la chute massive d'une trentaine de coureurs du peloton. La responsable : la pluie, qui a mouillé les routes et rendu le sol glissant. L'organisation du tour a ainsi décidé de suspendre la course, qui a pu reprendre vingt minutes plus tard. Un contretemps qui a laissé des séquelles chez certains coureurs.

C'est ainsi que cinq cyclistes ont jeté l'éponge depuis le début de cette 14e étape. Antonio Pedrero de Movistar a donc été contraint à l'abandon. C'est également le cas du français, leader de la DSM, Romain Bardet. Dans la descente du Col de Saxel, celui qui était douzième au classement général samedi matin a mal négocié un virage et est parti tout droit. Il a chuté lourdement et est resté de longues minutes à terre. Rapidement pris en charge par le service médical, le coureur avait un genou en sang et beaucoup de mal à se relever. Même avec l'aide des secours, il a eu beaucoup de mal à se tenir sur ses deux jambes. Après avoir été embarqué dans la voiture médicale, son directeur d'équipe, Iwan Spekenbrink de la Team DSM, a confirmé que le Français était sonné après sa lourde chute et que l'abandon était inévitable.

Autre abandon, celui de la journée, James Shaw, le coureur d'EF Education-Easypost, a chuté dans la descente, au même endroit que Romain Bardet.

Parmi les autres qui ont dû arrêter, on compte un autre Français, Adrien Petit, qui est reparti avec un bandage sur la jambe. Le Sud-Africain Louis Meintjes (Intermarché Circus Wanty) a, lui, été transporté sur une civière vers l'ambulance avant de déclarer forfait avec ce qui semblerait être une fracture de la clavicule. Sur les trente coureurs environ qui sont tombés à terre, ils sont nombreux à être repartis avec des brûlures superficielles. Ils ont ainsi pu poursuivre leur course vingt minutes après la neutralisation.