Ces dernières années, Maya Lauqué s'impose comme un visage incontournable de France Télévisions. Le groupe lui fait confiance pour présenter la matinale de France 2, Télématin, le week-end mais aussi pour être le joker de Caroline Roux et Axel de Tarlé sur France 5 dans C dans l'air. Et puis surprise, pendant les dernières vacances de février, la journaliste de 45 ans a pris les rênes du 20H de France 2. Il faut dire que la complice de Damien Thévenot a de l'expérience dans le milieu de la télé car cela fait maintenant plus de vingt ans qu'elle passe devant la caméra. Un long parcours rythmé par de bons et mauvais côtés.
Sur Instagram, à travers une vidéo "storytime" comme elle a pris l'habitude d'en faire depuis le début de l'été, la jolie blonde s'est justement remémorée son "pire souvenir à la télé". "Je me suis fait électrocuter par mon boîtier de micro en plein direct", révèle-t-elle. Et de recontextualiser : "J'étais assez jeune, je travaillais à cette époque-là pour TPS Star le week-end. J'étais sur les stades de foot anglais, donc j'étais en Angleterre. Je faisais les avant-matchs, mi-temps et après-matchs au bord du terrain. Et au moment où les commentateurs me passent la main pour prendre la parole et animer la mi-temps, je sens un coup d'électricité dans le boîtier de mon micro, qui était dans la poche arrière de mon jean".
Ainsi, tout au long de son intervention, Maya Lauqué se prend des décharges. De quoi la perturber bien sûr mais la journaliste a réussi à rester professionnelle coûte que coûte malgré tout. "Je crois que ça ne s'est pas entendu dans ma voix mais j'ai fait un petit signe avec mon sourcil. (...) Je parlais en faisant des gestes ou avec la voix qui vrillait parce que j'étais surprise et puis j'avais mal surtout", a-t-elle souligné, précisant ne pas avoir pu se sortir de cette galère. "Je ne pouvais pas sortir le boîtier parce qu'il fallait que j'ai les oreillettes et que je continue de parler. Donc je me suis juste dit 'je veux que ça s'arrête'. Et bon bah voilà, j'ai serré les dents et j'ai attendu la fin et j'ai gardé une trace pendant deux jours".
Celle qui est installée dans un appartement atypique à Paris se réjouit aujourd'hui qu'il n'y ait "pas d'image" de ce moment inoubliable. "Heureusement parce que sinon je pense que j'aurais fini dans le bêtisier de fin d'année", imagine-t-elle à la fin de sa vidéo.