Benjamin Castaldi n'y est pas allé avec le dos de la cuillère. Vendredi dernier, sur le plateau de Touche pas à mon poste, l'animateur a violemment taclé le docteur le plus célèbre de France, Michel Cymes et s'est moqué de ses émissions. Ce lundi 18 octobre, le chroniqueur Guillaume Genton a sorti son téléphone portable pour appeler Michel Cymes, ou du moins un imitateur se faisant passer pour lui.
Mais Benjamin Castaldi et Fabrice Di Vizio, qui a également eu droit un petit tacle de la part de Michel Cymes, n'ont pas perçu la différence et se sont fait piéger en beauté ! "C'est qui Michel Cymes ? Il n'est plus médecin, il n'est plus journaliste. C'est un mec qui plante toutes ses audiences. S'il ne m'aime pas, je pense que j'en remettrai", a déclaré l'avocat. "C'est l'archétype du raté, du pauvre type".
Face à ces mots durs, Cyril Hanouna a souhaité calmer les tensions et a décidé d'appeler le médecin-star. Mais apparemment très remonté contre les deux chroniqueurs, Michel Cymes (qui était en fait l'imitateur Yann Jamet) a multiplié les menaces et critiques. "Le régime Comme J'aime n'a pas fonctionné vu que la tête est toujours enflée", a-t-il lancé à Benjamin Castaldi. "Vous croyez impressionner qui avec votre gabarit ? Si je vous croise dans la rue, le stéthoscope vous allez vous le prendre dans la gueule !", a-t-il dit. "C'était rien de personnel. Je n'ai rien contre Michel", s'est excusé l'ex-compagnon de Flavie Flament.
Pour rappel, vendredi dernier, Benjamin Castaldi s'était moqué de Michel Cymes. "Il y avait une célèbre chanson D'aventures en aventures de Serge Lama. Ça dit, 'De port en port... de femme en femme', lui, c'est 'de bide en bide, de flop en flop' et malgré tout, Michel Cymes est toujours là", avait-il lancé. Le docteur a réagi au micro de Sud Radio : "Si des gens que j'admire énormément comme Nagui, Arthur qui sont des grands noms de l'animation, me critiquaient, ça me toucherait. Là, c'est Benjamin Castaldi." Et d'ajouter : "Si je l'avais en face de moi, j'aurais juste envie de lui dire que (...) moi, je ne mange dans la main de personne pour vivre".