Valérie Trierweiler l'a clamé un peu partout : elle ne veut plus qu'on parle d'elle ou de son brûlot à succès Merci pour ce moment mais uniquement de son engagement en faveur du Secours populaire. La journaliste et ex-première dame devrait donc être ravie de se voir offrir la couverture du nouveau numéro de VSD (en kiosques le 25 février 2016) où elle pose avec son "président de coeur", Julien Lauprêtre, patron de l'association depuis des années. Oui mais voilà, ce qui saute d'abord au yeux, c'est son étonnant nouveau look !
Si elle voulait concentrer l'attention sur son action caritative, c'est un peu raté. Tout comme lors de son très moqué shooting photo – retouché par le logiciel Photoshop – pour le magazine japonais Richesse (qui lui a permis de récolter 3 200 euros reversés à la branche locale du Secours populaire), Valérie Trierweiler surprend en couverture de VSD où elle apparaît les cheveux raides et longs. La journaliste de 51 ans pose tout sourire et semble d'ailleurs avoir rajeuni...
Valérie Trierweiler, qui il n'y a pas si longtemps se disait avec humour "trop sexy" pour son ex, semble donc ravie de ne plus être obligée de se plier à l'image austère qui colle de longue date à la peau des premières dames – toujours très sobres. À 51 ans, la journaliste se fait plaisir : jean, chemisier moderne, changements de coiffures, etc. Si elle s'occupe d'elle et s'est remise de sa rupture brutale avec François Hollande, elle ne manque pas non plus de trouver de quoi occuper ses journées en plus de son travail à Paris Match. Et cela passe par son action au profit du Secours populaire.
"On critique toujours les gens qui font quelque chose. Est-ce qu'il faut pour autant ne rien faire ? Pourquoi aurais-je besoin d'une posture ? L'image, c'est factice, ça ne m'intéresse pas. Je ne brigue rien. Je n'ai rien çà vendre", lâche-t-elle dans VSD.
Thomas Montet