Valérie Trierweiler révèle le vrai montant du cachet de ses photos retouchées

Le mois dernier, Valérie Trierweiler réalisait un shooting photo étonnant pour le magazine japonais Richesse. L'ancienne Première dame s'offrait une nouvelle image raffinée, digne d'une véritable icône hollywoodienne. Les cheveux lisses et blond platine, vêtue d'une longue robe noire et haut perchée sur des talons vertigineux, la journaliste française de 50 ans apparaissait métamorphosée.

Des images très retouchées qui ont déclenché la moquerie de nombreux internautes sur les réseaux sociaux, mais aussi provoqué la colère de certains qui s'indignaient que l'ex-compagne de l'actuel président de la République François Hollande ait été grassement payée pour réaliser ces photos. C'est là bien mal connaître Valérie qui n'a jamais profité de sa situation, exceptionnelle étant donné son statut, pour se faire de l'argent facilement.

Bien au contraire, l'auteur du livre Merci pour ce moment a toujours fait preuve d'un engagement humanitaire fort et désintéressé que ce soit auprès du Secours Populaire, d'Action Contre la Faim ou pour la campagne Bring Back Our Girls. Sans surprise, Valérie a une nouvelle fois fait preuve d'une solidarité à toute épreuve en annonçant fièrement que l'intégralité des gains engrangés lors du shooting photo pour le magazine japonais serait versée au Secours Populaire japonais. De quoi clouer le bec aux mauvaises langues et à ses nombreux détracteurs.

"Ce n'est même pas reversé, ça va être versé directement du magazine au Secours populaire japonais. C'est 800 euros la séance, multiplié par quatre parce qu'ils vont en faire quatre publications", a-t-elle précisé lors d'une interview pour le site 7sur7.be, en réponse aux informations du Parisien qui assurait qu'elle avait empoché 4 000 euros pour sa prestation. Fidèle à ses habitudes, Valérie Trierweiler ne touchera pas donc un centime des 3 200 euros récoltés, l'argent passera directement du magazine à l'association japonaise pour venir en aide aux victimes du tsunami, une initiative exemplaire dont feraient bien de s'inspirer certains.

Coline Chavaroche