Yann Moix n'a décidément pas sa langue dans sa poche ! Samedi 19 janvier 2019, le chroniqueur de 50 ans est revenu sur ses propos polémiques lors du nouveau numéro des Terriens du samedi (C8) présenté par Thierry Ardisson. Il s'en est pris à Valérie Damidot qui n'avait pas du tout apprécié ses déclarations au magazine Marie Claire. Pour rappel, Yann Moix avait clairement affirmé qu'il était "incapable d'aimer une femme de 50 ans" et qu'il préférait celles de 25 ans. L'animatrice de TF1 s'était donc lâchée sur son compte Twitter : "Wesh, gros, nous les quinquas on n'a pas non plus envie de ton micro kiki, la bonne année à toi."
Yann Moix a profité de sa chronique dans les Terriens du samedi pour répondre à Valérie Damidot. Autant vous dire qu'il n'y a pas été de main morte. "Valérie Damidot, c'est un peu compliqué. Je ne savais même pas qu'elle existât, commençait-il. J'ai appris son existence la semaine dernière dans un entretien dans lequel elle disait que j'étais affublé d'un appendice reproducteur (...) Dans le langage Damidot, où la monosyllabe tient lieu de dictionnaire, ça donne 'Il a un petit kiki'. Une telle élévation de pensée, associée à un sens si rare de la répartie, fait la noblesse du pays de Malherbe, La Bruyère et de Boileau. Autant de noms que Valérie Damidot ira sûrement vérifier dans les rayonnages de Conforama."
Yann Moix a ensuite fait référence à ses livres, dont son dernier ouvrage Rompre (paru le 2 janvier dernier aux éditions Grasset) avant de conclure : "Dans la bibliothèque de Valérie Damidot, où l'intégrale de Fantômette, reliée pleine peau, est rangée dans la section philosophique au côté de 50 Nuances de Grey, on ne trouve aucun de mes livres. Aucun. Et c'est pour ça que j'écris, pour ne pas être lu par Valérie Damidot."
Reste à savoir si l'animatrice de 54 ans répondra de nouveau au polémiste. Karine Le Marchand, de son côté, a littéralement clashé le chroniqueur. Sur Instagram, l'animatrice de L'amour est dans le pré (M6) a publié un montage de testicules en mode #10yearschallenge. On n'en a pas fini avec le cas Yann Moix...