"Ça m'accuse de mensonges !" : La femme d'Hugo Lloris, furieuse, laisse éclater sa colère après son passage aux urgences

Alors qu'ils vont sûrement quitter l'Angleterre pour de nouvelles aventures, Hugo Lloris et sa famille sont dans le sud de la France et les choses ont tourné au cauchemar. Victime d'une sérieuse allergie, Marine Lloris, la femme et mère de trois enfants, s'est rendue aux urgences de Cagnes-sur-Mer pour se faire soigner, mais comme elle l'a raconté dans sa story, tout ne s'est pas passé comme prévu.

Face à la polémique qui a enflé ces derniers jours, l'établissement, par le biais de la présidente et directrice générale de la polyclinique Saint-Jean, a tenu à réagir. Pour elle, il s'agit d'un "non-évènement" et elle explique les raisons au Figaro : "Jeudi soir, vers minuit, il y avait déjà douze patients, dont cinq en situation instable et un dans un état critique. On a indiqué à Madame Lloris qu'elle ne pourrait pas être prise en charge immédiatement, et celle-ci n'a pas souhaité attendre. Elle est donc partie." Face à de tels propos, Marine Lloris n'a pas tardé à réagir sur son compte Instagram. Dans sa story (qui est à retrouver dans le diaporama), la mère de famille a tenu à apporter sa version des faits et elle semble très remontée. "Et en plus ça m'accuse de mensonges !!! Mme Alexandra Cittadini, vous m'appelez quand vous voulez !", lâche la femme d'Hugo Lloris ce mardi 4 juillet.

Une affaire qui a pris de l'ampleur dans le courant du week-end suite aux propos de Marine Lloris, qui a raconté son histoire sur les réseaux sociaux le 30 juin dernier. "Hier soir à minuit, je me suis présentée aux urgences de St Jean à Cagnes sur Mer, pour une très sérieuse allergie qui se propageait rapidement. Mais on a refusé de me soigner", a-t-elle dévoilé, avant d'ajouter : "Deux infirmières m'ont traité avec mépris et m'ont parlé avec arrogance parce que je n'avais rien à faire là sans numéro de sécu."

Visiblement choquée par ce qu'elle a subi, la femme du jeune retraité de l'équipe de France a eu des mots très forts. "Pour la première fois, je ne me suis pas sentie à ma place dans mon pays, dans la ville où je suis née. (...) Bref, je suis choquée par ce que j'ai vécu hier soir dans ma propre ville", a-t-elle conclu son message.