C'est un moment toujours très attendu par les amoureux de cyclisme. Ce mercredi 25 octobre, le directeur du Tour de France, Christian Prudhomme et ses équipes ont annoncé le tracé complet du prochain Tour de France. L'occasion de confirmer que le départ sera bien donné depuis la ville de Florence, en Italie, mais de gros changements sont à prévoir et notamment pour les dernières étapes. Exit l'arrivée traditionnelle sur les Champs Élysées, cette année, les organisateurs ont décidé de mettre un peu plus de piment avec une dernière étape en forme de contre-la-montre pour laquelle les coureurs partiront de Monaco pour rallier Nice.
Une façon de rendre la fin de la Grande Boucle plus trépidante que d'ordinaire, mais pour un célèbre consultant, ces efforts supplémentaires ne sont pas franchement une bonne nouvelle. Comme tous les après-midis sur RMC, le Super Moscato Show revient sur l'actualité sportive du jour et au moment d'évoquer ce fameux tracé 2024 du Tour de France, Éric Di Meco s'est montré peu enthousiaste devant les efforts demandés par les coureurs. "On s'étonne que les mecs se pètent, que les mecs se chargent et que ça devienne n'importe quoi à un moment donné et au détriment même parfois de la qualité", lance-t-il, avant de déclencher un débat avec Vincent Moscato et le reste de l'équipe, qui semblent beaucoup moins alarmistes que lui à ce sujet. "Si ça vous plaît que les mecs meurent...", souffle l'ancien footballeur de 60 ans, visiblement exaspéré.
Les mecs, ce ne sont pas des machines, c'est tout !
Éric Di Meco tient à tirer la sonnette d'alarme, lui qui a été joueur et qui connaît les cadences infernales imposées aux sportifs de haut niveau. "Les mecs, ce ne sont pas des machines, c'est tout ! Et le sport aujourd'hui, on est prêt à faire faire n'importe quoi aux mecs parce qu'il y a un gros c*n qui fait pas de sport, et je dis 'le gros c*n', je me mets dedans", lance celui qui s'est effondré au moment de la mort de Bernard Tapie, avant de préciser ses dires : "C'est le gros c*n, qui fait plus de sport, qui est sédentaire et qui boit 12 binouzes par jour, il regarde les mecs mecs monter pendant le mois de juillet par 100 degrés."
Loin d'être fan du nouveau tracé du Tour de France, Éric Di Meco n'a pas mâché ses mots.