Depuis qu'un titre de la presse people française a fait état, photos à l'appui, d'un rapprochement avec l'ex-naïade télévisuelle Pamela Anderson, Adil Rami, devenu papa quelques mois plus tôt de jumeaux mis au monde par Sidonie Biémont, a surtout fait l'actualité en raison de son transfert à l'Olympique de Marseille. A présent que les négociations entre le club phocéen et le FC Séville ont abouti et que l'international tricolore a débarqué sur la Canebière, les deux thèmes se sont incidemment rejoints...
Officiellement présenté en tant que nouveau joueur de l'OM ce mercredi 19 juillet 2017 à l'occasion d'une conférence de presse à la Commanderie, Adil Rami, entouré du président de Jacques-Henri Eyraud et du directeur sportif Andoni Zubizarreta, a répondu à de nombreuses questions, justifiant son choix de rejoindre son "club de coeur" et évoquant ses ambitions. "Marseille est un club ambitieux, avec du caractère, qui a l'envie de retrouver l'élite européenne. Pour moi, c'était le moment parfait pour revenir en France", a notamment expliqué le Fréjusien, parlant d'un "rêve d'enfant" qui se réalise.
Oh punaise...
Evoquant, au sujet du groupe qu'il rejoint, "une vraie équipe de copains" animée par une "très belle ambiance", le défenseur de 31 ans appelé à 33 reprises en équipe de France a aussi spontanément abordé les railleries dont il a fait l'objet de la part de ses nouveaux coéquipiers concernant sa pilosité faciale : "Pourtant, je ramène du charme à cette équipe, mais ils ont bien attaqué ma moustache", a-t-il glissé en riant (et en se lissant ladite moustache).
Et à propos de charme, il n'a pas échappé à une question malicieuse sur cette fameuse rumeur lui prêtant une idylle avec Pamela Anderson... "Est-ce qu'on aura la chance de voir Pamela Anderson au stade Vélodrome cette saison ?", a ainsi osé demander l'un des journalistes présents, se dévouant au nom de ses confrères. "Oh punaise, a réagi, hilare, Rami. Non... Je ne sais pas quoi te dire... Pourtant, j'ai bien appris ma leçon, mais là... Ça, c'est ma vie privée et je ne suis là que pour du football. Voilà, je suis désolé. Mais bien tenté !" Une séquence qu'on peut notamment revoir sur le site du Phocéen.
Langue de bois, mais fair-play !