Alessandra Sublet était invitée jeudi 11 juin 2020 de l'émission Ça fait du bien (Europe 1) présentée par Anne Roumanoff et elle s'est lâchée sur la question de la chirurgie esthétique. Celle qui prône le naturel et s'est associée à Axelle Parker, la femme de Tony Parker, pour ouvrir un centre esthétique, Petit Med Spa Paris, a fait comme toujours preuve de franchise.
La maman de Charlie (7 ans) et Alphonse (5 ans) a notamment évoqué l'état de sa poitrine après ses deux grossesses et a confirmé qu'elle ne passerait pas sur le billard : "Ils ne sont juste pas refaits, avec deux enfants au passage. Et c'est pas très grave, (...) et je ne passerai pas sous le bistouri."
Et même avec le temps qui passe, la star de 43 ans ne se fera pas opérer parce que, pour elle, le naturel compte plus que tout. Elle explique : "En fait, à côté de nous, il y a tellement de nanas qui le font que, du coup, quand elles ont 50 ans, vous leur dites bonjour, vous avez l'impression qu'elles en ont 20. Moi je dis non, il y a un problème, il faut essayer de rester comme on est là !"
Et elle a ensuite critiqué les magazines qui retouchent les femmes en couverture : "C'est comme les couvertures de magazines. Je me bats très souvent pour ne pas qu'on me photoshope parce que je me dis la fille qui achète le magazine et qui a mon âge, à quel moment est-ce qu'elle va se dire 'attends, mais, moi j'ai pas ça, j'ai pas ça...'" Alessandra se refuse à "foutre des complexes aux autres gratuitement".
Dans TV Grandes Chaînes, en janvier, Alessandra Sublet avait déjà évoqué son combat pour ne pas être photoshopée : "Si je m'affichais aujourd'hui en couverture avec la même tête que lorsque j'avais 20 ans, ce serait un peu bizarre, non ? Je ne me vois pas fausser une partie de moi-même et mentir au public." Quelques mois plus tôt, c'est dans Télé 7 jours qu'elle s'était exprimée sur le même sujet : "Je lutte pour qu'on me laisse au naturel ! Certes, les diktats de la mode et de la jeunesse sont très forts, mais j'aimerais que celles qui me regardent se retrouvent un peu en moi et qu'elles aient envie de rester comme elles sont plutôt que de courir chez le chirurgien !"