Durant des années, Alessandra Sublet (48 ans) a fait carrière à la télévision ou à la radio. Elle est notamment passée par le groupe TF1 (à partir de 2015). Mais en 2022, elle a pris la décision de tout quitter. Elle a délaissé la télévision pour se lancer dans la comédie et proposer un seule en scène. Un show intitulé Tous les risques n'auront pas la saveur du succès. Elle a également quitté Paris pour s'installer dans le sud de la France. Si elle se fait plutôt discrète dans les médias, elle a accepté de participer au podcast Quincanailles. L'occasion de faire de rares confidences sur sa vie privée.
Par le passé, Alessandra Sublet s'est mariée une première fois à un homme prénommé Thomas Volpi. Une relation qui a pris fin en 2009. C'est ensuite dans les bras du producteur Clément Miserez qu'elle a trouvé l'amour. Un homme avec lequel elle a eu deux enfants : Charlie (12 ans) et Alphonse (10 ans). Bien que le couple ait fini par divorcer, ils sont restés en bons termes. Elle est également restée proche de Jordan Deguen, de 13 ans son cadet. Une relation officialisée en 2020. Leur séparation a été annoncée un an plus tard.
Depuis, Alessandra Sublet est discrète en ce qui concerne sa vie amoureuse. Mais pour Quincanailles, elle a accepté d'en dire un peu plus sur le sujet. "Deux ans et demi de célibat total. Et ça, je veux le dire parce que, je n'aime pas parler de ma vie privée, mais j'ai tenu à ne pas avoir d'hommes dans ma vie. Souvent les gars peuvent se dire : 'Oh la la, la notoriété. La fille un peu jolie.' et tout. Laisse tomber, c'est une barrière, il n'y en a pas beaucoup qui y vont et ça il faut se le dire. Mais ce n'est pas grave. J'ai voulu le faire parce que d'abord, je n'en avais plus envie. Et j'avais vraiment, vraiment envie de me avec retrouver moi-même", a-t-elle confié dans un premier temps.
Alessandra Sublet a insisté sur le fait que c'était une volonté de sa part. Puis, elle a regretté que le célibat soit souvent associé à quelque chose de négatif. "Mais ce n'est pas grave d'être célibataire. (...). On n'est pas obligés d'être en couple pour avoir un statut social. Or, dans notre société aujourd'hui, le célibat est vu comme quelque chose de négatif. Eh bien moi je dis, et pendant deux ans et demi je l'ai entendu constamment : 'Ah bon, toi tu n'as pas de mec ?' Non ! C'est que forcément il y avait un problème. Soit j'étais lesbienne, soit j'étais celle qui avait plein de mecs. Et ce n'est pas ça du tout. Moi j'ai besoin d'être très amoureuse pour... voilà. Mais ça m'a permis de comprendre aussi comment notre société marchait", a-t-elle conclu.