"J'ai eu la chance de te rencontrer, de partager des moments de fou, d'être le témoin de tes histoires que j'écoutais religieusement. À Saint-Barth' ou ailleurs, tu seras à jamais dans nos coeurs. Et compte sur nous pour entourer Laeticia, Jade et Joy", écrivait Alessandra Sublet sur Instagram à la mort de Johnny Hallyday en décembre 2017. Trois mois après ce décès, l'animatrice tient sa promesse. Avant l'audience du 30 mars 2018 durant laquelle Laura Smet et David Hallyday tenteront d'obtenir un droit de regard sur le dernier album de leur père et le gel de ses avoirs en vue de contester son testament, Sublet monte au créneau sur l'antenne de RMC et Numéro 23 dans Les Grandes Gueules.
Tout d'abord, Alessandra Sublet se félicite que son amie soit restée à Los Angeles. Loin, elle se protège de toute l'agitation qui règne en France autour de cette affaire : "Elle va bien si ce n'est qu'elle a besoin de temps, d'abord pour faire le deuil de son mari. Elle le fait difficilement, très difficilement. Elle a une chance pour elle, c'est d'être à plus de 10 000 kilomètres, aux États-Unis, forcément quand elle se réveille le matin, c'est déjà le soir ici, donc ça aide."
Sur la question de l'héritage, elle invite chacun à prendre un peu de recul : "C'est l'héritage d'une famille pas l'héritage d'un pays, donc il faut qu'on arrête de tous juger ce qui se passe." Elle n'en demeure pas moins bienveillante envers David Hallyday et Laura Smet : "Ce sont aussi des gens très bien et on ne doute pas de leur chagrin. Ça doit être très dur pour cette famille, un cauchemar pour tout le monde. Mais il faudrait que les choses se calment et que chacun puisse faire son deuil."
Pour finir, l'animatrice de 41 ans, qui fréquentait beaucoup le couple à Saint-Barthélemy, balaye d'un revers de la main le portrait peu flatteur que certains tentent de dresser de Laeticia : "Si c'était la méchante, tous ces gens savaient sans rien dire ? (...) On lui reproche quoi ? Que ce couple-là, pendant vingt-trois ans, ait vécu une histoire d'amour incroyable et peu commune ? Je demande juste qu'on la laisse faire son deuil. Je suis sûre qu'arrivera le moment où elle pourra s'exprimer." En attendant, la communication de Laeticia est entre des mains expertes...