Amal Clooney fascine. Elle est une avocate influente, est sublime et a réussi à épouser l'incasable George Clooney, qui n'en peut plus d'éloges pour sa dulcinée. Qui se cache derrière cette femme, qu'on a vu briller sur le tapis rouge du Festival de Cannes, au point de voler la vedette à Julia Roberts et Jodie Foster ?
Avant tout et avant George, Amal Clooney née Alamuddin est une avocate internationale, britannique d'origine libanaise. Impliquée dans la reconnaissance du génocide arménien ou pour la libération de l'ancien président des Maldives, le premier élu démocratiquement, Mohamed Nasheed, elle a un nouveau fait d'armes : une grand journaliste d'Azerbaïdjan, Khadija Ismayilova, en prison depuis le mois de décembre 2014, a été libérée. Elle était notamment soutenue par Amal Clooney. Une femme qui défend fermement ses opinions, notamment sa hantise de Donald Trump, candidat à la Maison-Blanche dont elle critique les opinions populistes.
Lors de tous ses déplacements, Amal Clooney tient à être parfaite du point de vue vestimentaire. Ainsi, il n'y a pas que lors des avant-premières qu'elle choisit des tenues élégantes. Le magazine Paris Match en a compilé certains : "Le 19 mars en Inde pour son discours sur la liberté d'expression, elle portait une robe en crêpe Paule Ka à 580 euros et un spencer assorti à 390 euros. Le 23 mars, aux Emirats arabes unis, pour plaider une cause humanitaire, une robe à fleurs Stella McCartney..."
Quand lors d'un dîner on demande à Hillary Clinton - que le couple Clooney soutient - comment elle se détend, la candidate répond : "Je marche à pied et je regarde des films idiots", Amal demande alors : "Comme ceux de George ?" raconte Paris Match. Farceuse, elle a offert à son mari pour son 55e anniversaire une tondeuse à gazon, mais un gros modèle, pour la pelouse de leur manoir du XVIIe siècle so british.
Tout ce que fait Amal Clooney est-il irréprochable ? Pas forcément. Le prix du dîner de "fundraising" pour la campagne de la démocrate Clinton s'élevait à 350 000 dollars par couple. Des sommes astronomiques voire indécentes pointées notamment du doigt par le concurrent démocrate Bernie Sanders. Enfin, avec sa sublime robe Atelier Versace jaune à traîne, elle a failli en montrer trop sur les marches à Cannes pour la projection de Money Monster. Ne pas être parfaite, cela la rend encore plus irrésistible.
Retrouvez l'intégralité de l'article dans le magazine Paris Match du 26 mai 2016