La "saga" de l'été continue. Alors que l'on pensait que Samantha laisserait son ancien compagnon Anthony Martial et sa petite amie Mélanie Da Cruz tranquilles à la suite de sa dernière mise au point, il n'en est rien !
Terminées, les belles phrases du genre "Je leur souhaite tout le bonheur du monde". Désormais, Samantha n'a plus qu'un objectif : dénoncer les travers de l'attaquant des Bleus et de la candidate des Anges 8 par le biais de son compte Snapchat. Dans un premier temps, elle a ainsi de nouveau accusé Mélanie de n'être intéressée que par l'argent du footballeur professionnel : "Tu accapares son papa grosse p**** (oublier sa fille pour une michtonneuse)." Après quoi, elle a reproché à Anthony Martial d'être un mauvais père pour leur petite Peyton (1 an).
"Je suis folle de rage qu'il ne prenne même pas la peine de demander des nouvelles de sa propre fille. Tu regretteras de faire ça à Peyton", a-t-elle écrit, avant d'assurer que le prometteur attaquant international français de 20 ans avait simplement vu leur fille deux fois en trois mois et ne se souciait pas de leurs problèmes d'argent : "Je vais finir par te la demander, la pension alimentaire. Ça permettra au moins à ta fille d'avoir une chaise haute et de ne pas manger sur un canapé."
Ta p*** boit à volonté, elle
Samantha ne s'est pas arrêtée là. La jeune femme a ensuite accusé Anthony Martial d'avoir ramené Peyton déshydratée de leur séjour en Guadeloupe et lui a reproché d'étaler son argent sur les réseaux sociaux, pendant qu'elle tente tant bien que mal de subvenir aux besoins de la fillette : "Prendre des photos sur un bateau, alors que ta fille n'a rien (...). Ta p*** boit à volonté elle. Moi j'ai plus de lait pour la petite et je suis à -1700 euros sur mon compte. Mais ça joue les riches. Meubler la maison avec ce que tu me donnes et en plus assumer la nourriture du mois. Juste impossible." Des messages extrêmement virulents (et des allégations très graves) depuis supprimés par Samantha, mais qui ne devraient pas manquer de faire réagir les principaux intéressés.