Un visage entre ceux de Nabilla et d'Angelina Jolie, un corps sublime et une enfance qui lui a forgé un sacré caractère : Aurélie, nouvelle participante à la télé-réalité Les Marseillais en Thaïlande - tous les soirs à 18h50 sur W9 - s'est confiée au Scan Télé du Figaro. Et le moins que l'on puisse dire, c'est que la belle n'est pas une bimbo comme les autres !
Que les choses soient claires, Aurélie ne veut "pas être cataloguée comme bimbo" et ne se considère pas comme telle. "Je n'ai pas envie qu'on se contente de me juger sur mon apparence. Certaines filles auront envie de surfer sur ce créneau de la bimbo, mais ce n'est pas mon cas", lâche-t-elle. Pourtant, depuis longtemps, le physique occupe une grande place dans sa vie. Complexée, elle n'a pas hésité à mettre plusieurs fois son corps entre les mains de chirurgiens : "J'ai eu plusieurs opérations de la poitrine parce que j'ai dû procéder par étapes pour arriver à la taille que je voulais. Et une opération sur la lèvre supérieure il y a deux ans. C'était pour une question d'esthétique et de bien-être."
Le parcours d'Aurélie est surprenant. Si elle a arrêté l'école à 16 ans, elle a évité les clichés et n'a pas fini comme stripteaseuse - même si elle reconnaît avoir tenté la chose une dizaine de fois. La jeune femme a multiplié les expériences : Cours Florent, l'école ATLA (École de musique actuelle) et l'Académie internationale de danse. Il faut dire que le contexte familial dans lequel elle a grandi était plutôt compliqué : "Mes parents avaient certaines addictions et j'ai été placée chez ma grand-mère. Je n'ai jamais connu mon père et je n'ai pas de très bons rapports avec ma mère. (...) J'ai mal vécu cette situation quand j'étais petite parce que j'avais le manque de ne pas avoir des parents comme mes camarades de classe. Durant l'adolescence, j'étais dans une phase de haine. Et en grandissant, je suis devenue indifférente." Une enfance particulière qui lui a sans nul doute permis de mûrir plus vite.
Sarah Rahimipour