Alors que son nouveau calendrier 2017 signé Mariano Vivanco (éditions Michel Lafon, disponible depuis le 20 octobre) s'est déjà écoulé à 30 000 exemplaires, Baptiste Giabiconi continue d'en assurer la promotion.
En grande forme, le mannequin multiplie les entretiens avec la presse pour parler de sa carrière et de ses nombreux projets. Interviewé par nos confrères du magazine Public, Baptiste Giabiconi s'est également exprimé sur l'étiquette de "beau gosse" qui lui colle à la peau, expliquant qu'il assume pleinement son physique. "Je me trouve pas mal. J'ai 27 ans et je n'ai jamais été aussi bien dans mes baskets", confie-t-il.
À l'aise avec son corps pour poser entièrement nu, le jeune homme admet à nouveau avoir fait retoucher les photos de son calendrier pour effacer les vergetures qu'il a aux fesses. Qu'on se le dise toutefois, Baptiste Giabiconi adore ses défauts. "Elles font mon charme. Mais en photo, c'était pas top. Attention, c'est pas non plus dégueulasse ! C'est Karl qui s'est aperçu que j'en avais. Il m'a rassuré en me disant que Claudia Schiffer a connu le même désagrément à 16 ans", poursuit-il.
Je suis à la tête d'un petit patrimoine immobilier sympathique
S'il a conscience d'être joli garçon, celui qui travaille aujourd'hui sur un nouveau projet musical avec Maître Gims affirme qu'il n'est cependant pas facile de draguer avec son physique. "C'est compliqué. Bizarrement, on ne me prend pas trop au sérieux. J'adore charmer, faire des compliments, des clins d'oeil, des sous-entendus... Même si ça ne va pas jusqu'au bout."
Enfin, le chouchou de la maison Chanel s'est confié sur l'une des choses dont il est le plus fier : son empire immobilier. "Je me suis acheté une petite maison près de Marseille. (...) J'ai fait construire là-bas et j'ai créé ma boîte de promotion immobilière. J'ai mis mes premiers cachets dans des appartements puis j'ai restauré des logements et réalisé des plus-values. Au bout de dix ans, je suis à la tête d'un petit patrimoine sympathique. (...) J'ai fait ça aussi pour mes futurs enfants", conclut-il.