Depuis plusieurs jours, Benjamin Biolay fait le tour des médias pour faire la promotion de son neuvième et dernier album, Grand Prix. Après des révélations fracassantes sur sa double-vie en Argentine, sur l'existence de sa fille et quelques douces confidences sur son amour éternel pour Chiara Mastroianni, le chanteur français revient sur les brouilles qui ont entaché sa carrière, dans un entretien à Vanity Fair.
Parmi tous les chanteurs cités, c'est Henri Salvador qui aura le plus tenu tête à Benjamin Biolay. Nos confrères commencent par revenir sur sa collaboration avec Keren Ann, et leurs chansons écrites pour Henri Salvador. Par jalousie et intentionnellement- d'après Vanity Fair- le chanteur guyanais aurait pris un "malin plaisir" à écorcher son nom en "Benjamin Violet". S'en sont suivies des années de répliques et autres attaques interposées en interview.
Nos confrères évoquent également son clash avec Bénabar, dont les propos indélicats interposés ont fini en bagarre dans un restaurant. Le chanteur aujourd'hui discret se serait jeté agressivement sur lui, en novembre 2009.
De toutes ces brouilles, on retiendra surtout celle qui l'opposait àVincent Delerm , puisqu'elle a fini avec une belle amitié et un titre, Les chanteurs sont tous les mêmes, sur "la vacuité des batailles d'égo".
Retrouvez l'entretien de Benjamin Biolay en intégralité dans le numéro juillet-septembre 2020 de Vanity Fair.