Dans la vie, il y a les gens proches de leurs sous, à compter le moindre billet pour faire les comptes et ceux qui, au contraire, estiment que l'argent est fait pour être dépensé, du moins de manière intelligente. Benjamin Castaldi fait partie de cette seconde catégorie. Le chroniqueur de Touche pas à mon poste a très bien gagné sa vie du temps où il était l'un des animateurs phares de TF1 grâce à Secret Story. Alors comme toute personne avec un peu d'apport, le papa de Gabriel a voulu investir dans la pierre. Sauf qu'il n'est pas vraiment tombé sur des personnes de confiance pour l'accompagner dans ses projets : "J'ai acheté un immeuble tout pourri. On m'a fait croire que c'était un très bel immeuble, je ne suis pas allé le voir".
Moqué par ses camarades de plateau en apprenant qu'il ne s'était pas déplacé pour visiter le bien, Benjamin Castaldi s'est expliqué : "On me proposait d'investir en loi Malraux. Donc vous pensez faire une grosse économie fiscale mais non seulement vous ne bénéficiez pas de l'économie fiscale mais en plus, ça vous coûte 3 ou 4 fois le prix de l'économie." Situé à Tulle, l'immeuble a finalement posé plus de problèmes à Benjamin Castaldi qu'autre chose : "Au final, pour deux millions d'investissement à la revente comme ça, aux enchères quand j'ai été saisi, qu'ils m'ont tout saisi et qu'ils ont tout pris, ça s'est vendu 400 000 euros." Une expérience malheureuse qui n'est pas la seule.
Benjamin Castaldi avait également investi dans un château, sur le même principe de la loi Malraux : "J'ai acheté un château mais il y avait une grosse mérule, un champignon, et la mérule a mangé le château. Le château est en ruine ! Je l'ai acheté 200-250 mille euros. Il faut faire des travaux mais comme le mec qui a pris l'argent des travaux est parti avec..." Benjamin Castaldi semble attirer les gens malhonnêtes. Il y a quelques semaines, il indiquait avoir "dilapidé son héritage" en voulant lancer la carrière d'une chanteuse israélienne. Si l'artiste n'avait rien à se reprocher, c'était loin d'être le cas pour son agent. L'affaire lui avait coûté 150 000 euros.