Les réalisateurs Nicolas Charlet et Bruno Lavaine avec l'acteur Benoît Poelvoorde lors de la conférence de presse du film "Le Grand Méchant Loup" à Lille le 25 juin 2013© BestImage
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Benoît Poelvoorde fait partie de ces bons clients à la télévision lors de la promotion d'un film. Cependant, leur enthousiasme et leur décontraction sont parfois difficiles à contrôler devant les caméras. L'acteur belge a une nouvelle fois fait du bruit en venant parler avec son partenaire Kad Merad de la comédie Le Grand Méchant Loup. Avouant en riant avoir "bu juste un petit peu avant de venir", il a du mal à tenir un discours cohérent devant son hôtesse, Claire Chazal, présentatrice du journal télévisé de 20h sur TF1 le 30 juin.
En ce dernier dimanche du mois de juin, Claire Chazal a le bonheur de recevoir deux pointures de la comédie française, Kad Merad et Benoît Polevoorde, sans Fred Testot qui complète le trio masculin principal du film. Deux hommes au capital sympathie énorme, venus défendre le long métrage des réalisateurs Nicolas & Bruno, remake du film québécois Les 3 P'tits Cochons (2007), lui-même une adaptation très libre et contemporaine du conte traditionnel Les Trois Petits Cochons. Ainsi, dans Le Grand Méchant Loup utilise la métaphore de trois personnages, du plus fragile au plus solide, face à leurs doutes de quadragénaires versaillais sans histoires. Autour des trois acteurs principaux masculins évolue une délicieuse brochette de comédiennes : Léa Drucker, Zabou Breitman, Valérie Donzelli, Charlotte Le Bon, Marie-Christine Barrault, Cristiana Reali et Linh-Dan Pham.
En bonne journaliste qu'elle est, Claire Chazal interroge les deux compères sur la difficulté que les hommes auraient, à notre époque, à trouver leur place dans leur couple, insistant sur le fait que les épouses des héros ne trompent pas leurs maris et sur un certain aspect machisme perceptible dans le film. Kad et Benoît ont dû mal à argumenter, le second expliquant que le film aurait tout aussi bien pu porter sur trois femmes en proie aux doutes et qu'il se serait intitulé Les Trois Petites Cochonnes... L'extrait de l'interview est assez éloquent sur le comportement assez étrange du héros des Randonneurs. Avait-il vraiment bu ou s'amusait-il dans la peau de son personnage de trublion ?
"Le Grand Méchant Loup", en salles le 10 juillet
En ce dernier dimanche du mois de juin, Claire Chazal a le bonheur de recevoir deux pointures de la comédie française, Kad Merad et Benoît Polevoorde, sans Fred Testot qui complète le trio masculin principal du film. Deux hommes au capital sympathie énorme, venus défendre le long métrage des réalisateurs Nicolas & Bruno, remake du film québécois Les 3 P'tits Cochons (2007), lui-même une adaptation très libre et contemporaine du conte traditionnel Les Trois Petits Cochons. Ainsi, dans Le Grand Méchant Loup utilise la métaphore de trois personnages, du plus fragile au plus solide, face à leurs doutes de quadragénaires versaillais sans histoires. Autour des trois acteurs principaux masculins évolue une délicieuse brochette de comédiennes : Léa Drucker, Zabou Breitman, Valérie Donzelli, Charlotte Le Bon, Marie-Christine Barrault, Cristiana Reali et Linh-Dan Pham.
En bonne journaliste qu'elle est, Claire Chazal interroge les deux compères sur la difficulté que les hommes auraient, à notre époque, à trouver leur place dans leur couple, insistant sur le fait que les épouses des héros ne trompent pas leurs maris et sur un certain aspect machisme perceptible dans le film. Kad et Benoît ont dû mal à argumenter, le second expliquant que le film aurait tout aussi bien pu porter sur trois femmes en proie aux doutes et qu'il se serait intitulé Les Trois Petites Cochonnes... L'extrait de l'interview est assez éloquent sur le comportement assez étrange du héros des Randonneurs. Avait-il vraiment bu ou s'amusait-il dans la peau de son personnage de trublion ?
"Le Grand Méchant Loup", en salles le 10 juillet