Il remporte une jolie bataille... mais peut-être pas la guerre. Selon les récentes informations de Page Six, Brad Pitt aurait finalement obtenu la garde alternée des enfants, après cinq années de guerre juridique, et contrairement à la volonté d'Angelina Jolie. John Ouderkirk, le juge en charge de l'affaire, aurait passé des mois à recueillir différents témoignages, dont ceux de professionnels des services à l'enfance, des proches de la famille, avant de rendre son verdict.
"Il y a eu de gros changements, dans l'accord de la garde des enfants, basés sur une décision très détaillée par le juge, explique une source de Page Six. Brad essayait juste d'obtenir un peu plus de temps avec ses enfants. Il est clair qu'Angelina a fait tout ce qu'elle pouvait pour l'en empêcher. Mais ça fait des mois que ça dure. De nombreux experts, des thérapeutes et d'autres gens ont été en contact avec les enfants et le verdict a été rendu en fonction de ça." On se souvient, pourtant, que Maddox, l'aîné du clan, avait dressé un portrait très peu flatteur de son père, "verbalement et physiquement abusif". Son avis a-t-il été pris en compte ?
Selon l'agence Associated Press, John Ouderkirk aurait refusé d'entendre les enfants d'Angelina Jolie et de Brad Pitt. C'est pourquoi la comédienne ne compte pas en rester là. Elle aurait rempli une nouvelle demande en invoquant le fait que les adolescents de 14 ans ou plus sont en droit de témoigner, s'ils le souhaitent, selon les lois californiennes. Ce qui concernerait Pax, 17 ans, Zahara, 16 ans et Shiloh, 14 ans. Ce n'est pas la première fois, d'ailleurs, que l'actrice s'oppose au juge qui supervise son avenir.
Tout ce que ma cliente demande, c'est un procès équitable basé sur des faits, sans traitement de faveur
Angelina refusait que John Ouderkirk participe au procès du divorce par souci d'impartialité, puisque l'homme de lois et Brad Pitt seraient associés professionnellement. D'autant plus qu'il s'était occupé de leur mariage, en France, en 2014, et qu'il semblait un peu trop proche de l'affaire. "Tout ce que ma cliente demande, c'est un procès équitable basé sur des faits, sans traitement de faveur accordé à l'une ou l'autre des parties, expliquait Samantha Bley DeJean, l'avocate d'Angelina Jolie, à Us Weekly. La seule façon pour que tout le monde ait confiance en ce processus, c'est que toutes les personnes impliquées soient transparentes."