Brigitte Bardot n'est pas rancunière finalement. Il y a quelques jours, BB, icône des années 60, annonçait vouloir rompre sa collaboration avec la société Akouna au 31 octobre. Mais leur différend est, apparemment, résolu !
Rappelons qu'Akouna est la société en charge de l'exposition sur la bombe sexuelle de l'époque et des objets dérivés qui sé déroule à Saint-Tropez. L'époux de la star avait annoncé par voie de presse : "L'exposition Brigitte Bardot qui se déroule actuellement à Saint-Tropez se terminera comme prévu le 31 octobre. Cela mettra un terme définitif au partenariat entre Brigitte et la société Akouna. On ne peut pas laisser faire n'importe quoi avec l'image de Brigitte Bardot, comme des porte-clés ou des magnets".
Mais Tristan Duval, gérant de la société, voyait les choses différemment : "C'est navrant qu'une belle aventure se termine comme cela. Personne ne croyait au succès de cette exposition au début. Cette exposition nous appartient et un contrat de quinze années nous permet de la présenter, notamment en Belgique l'an prochain, puis au Japon et au Brésil". Et ce dernier se dit prêt et "déterminé à défendre ses intérêts devant les tribunaux".
Finalement, la menace des tribunaux a calmé la colère de BB puisque Le Parisien, dans son édition de ce samedi 30 octobre, annonce qu'une exposition BB verra bien le jour au printemps prochain. Tristan Duval explique simplement : "[Hier], nous avons trouvé un accord". Information confirmée par le secrétariat de Bardot. Henry-Jean Servat, commissaire de l'exposition (que l'on retrouvera bientôt au sein du jury de Miss Nationale), se réjouit : "L'expo ira comme prévu en Belgique, au Japon, au Brésil et en Italie".
Faut-il déduire qu'il s'agit d'un accord financier entre les deux parties ? Ou d'un deal tout à fait amical ? Le doute est permis...