![Brigitte Bardot, en septembre 2007 à Paris.](https://static1.purepeople.com/articles/2/10/14/02/@/863775--580x0-2.jpg)
![Purepeople](https://static1.purepeople.com/build/pp_fr/logo_brand_ads.0d8e500d.png)
Inoxydable BB... Brigitte Bardot (ou devrait-on dire "la marque Brigitte Bardot") continue de faire recette. Une Mini Moke, modèle de la marque britannique Austin, mise en vente en 1967, dont l'ex-actrice était propriétaire, vient d'être adjugée à 23 000 euros lors d'une vente aux enchères réalisée à Bruxelles, lundi 28 mai. C'est près du double de la valeur initiale de cette voiture (10 à 15 000 euros environ). Vendu sur photo, le véhicule se trouve toujours à la Madrague, célèbre propriété tropézienne de Bardot, en attendant d'être remis à son nouveau propriétaire. Un fan de BB ou de voitures ? Difficile de le savoir.
Conduit par Brigitte Bardot à la fin des années 70 sur les routes de Saint-Tropez et de Ramatuelle - avec à bord, à ses côtés, ses amants ou ses animaux de compagnie -, ce modèle fut à cette époque le symbole de l'art de vivre made in Côte d'Azur.
La semaine dernière, Brigitte Bardot faisait déjà l'actualité en s'indignant devant le génocide dont les petits ânes, élevés puis rapidement abattus, sont victimes au Brésil. Leurs carcasses finissent dans les boucheries chinoises, et certaines parties de leurs organes peuvent servir à la réalisation de cosmétiques. Dans une lettre publiée par l'association Brigitte Bardot, il y a quelques jours, elle écrivait : "Moi qui ai tant aimé le Brésil, je suis écoeurée, révoltée de voir que ce pays collabore avec la Chine pour tuer, chaque année, 300 000 ânes exploités par l'Homme et à qui on devrait ficher la paix. Vous ne pouvez pas en tant que présidente, que femme, qu'être humain, accepter cette ignominie barbare, ce retour en arrière qui entacherait profondément l'image du Brésil." Elle promet également de faire éclater ce scandale à l'international.
Plus tôt, ce mois-ci, elle se disait "scandalisée" par l'arrestation de Paul Watson, fondateur de la Sea Shepherd Conservation Society, qui oeuvre pour la protection des océans et des espèces animales qui y résident. En conséquence, elle proposait, via un communiqué de presse, de prendre sa place en prison.
Joachim Ohnona