Carla Bruni-Sarkozy et Nicolas Sarkozy : passer une nuit dans leur château vous coûtera la somme de...

Carla Bruni-Sarkozy et Nicolas Sarkozy se sont offert la vie de château en 2020 et il se pourrait bien que vous puissiez vivre ce rêve vous aussi ! L'ancien président de la République et sa femme ont acheté le château d'Estoublon, situé à Fontvieille, une petite commune du département des Bouches-du-Rhône, en Provence. Un domaine d'exception qui a tout de suite plu au couple : "Mon mari et moi sommes tombés amoureux d'Estoublon il y a trois ans. Le lieu est très inspirant. Il concentre toute la magie de la terre et de la lumière de la région, l'une des plus belles du monde", expliquait la belle italienne dans Paris Match.

Un écrin situé dans le Sud de la France qui possède de nombreux atouts, dont un domaine viticole de près de 300 hectares, mais ce n'est pas tout. Le château de Carla Bruni-Sarkozy et Nicolas Sarkozy possède également 22 pièces et un ascenseur. Sur une surface habitable de 1500 mètres carrés, il y a un total de 10 chambres et suites, ainsi qu'un billard, une salle de cinéma, un studio fitness mais également une bibliothèque et un hammam. Le grand luxe accessible à tous puisqu'il est possible d'y réserver une chambre pour profiter des lieux et passer du bon temps à proximité de la piscine chauffée, ou encore de faire une partie de pétanque.

Comme le révèle aufeminin, il faudra débourser une certaine somme puisque le prix de départ pour privatiser le château d'Estoublon en entier est de 25 000 euros ! Une somme pour le moins importante, mais pour ceux qui souhaiteraient s'y rendre sans dormir sur place, il est également possible de venir y dîner ou y déjeuner. Les prix sont là beaucoup plus bas puisque le menu en trois plats est à 38 euros par personne, comme l'indiquent nos confrères.

Un château qui fait beaucoup parler de lui puisqu'il s'est récemment retrouvé au coeur d'une sombre affaire et un procureur de la République a été saisi pour des travaux de démolition sur les lieux. La présence de "nombreux vestiges architecturaux des XVe et XVIe siècles" complique les travaux qui devaient y être engagés, comme l'a dévoilé le Canard enchaîné, en décembre dernier.